''L’enfant voulait répondre. Mais sa gorge lui fit comprendre que ses mots ne seraient jamais à la hauteur du silence.''
               
Eto Hachiro
 
''La mort, c’est elle qui vous fait tenir debout. C’est elle qui dicte les actes. C’est elle qui peint le monde. Et elle vous emportera tous.''
               
Querel Sentencia
 
''Je ne ressens que soif et tristesse, la mort est futilité. Je la cherche, peut-être suis-je elle.''
               
Nagate Zetsubō
 
''Udyr, quand tu seras mort, on se souviendra de ton nom. Moi je n'en ai pas, car je ne mourrai pas aujourd'hui. Mais le tien restera gravé dans ma mémoire, et dans celle de tous ceux qui t'ont connu, comme celui d'un homme fort, et digne. Alors va, et éteins-toi avec grandeur, devant tous ces vautours.''
               
Darn Butcher
 
''La nature revivait là où les hommes mourraient, le cycle reprenait son cours normal grâce à l’albinos.''
               
Aikanaro Myrrhyn
 
''Ils ne se battaient pour rien qui n’en vaille la peine. Ils étaient incapables de distinguer ce qui avait de la valeur de ce qui n’en avait pas. Alors pourquoi tant de vigueur à la tâche ? Pourquoi risquer sa vie aussi vainement ?''
               
Alcofrybas Grincebrume
 
''Son regard, depuis toutes ces années, avait appris à parler.''
               
Etan Ystal
 
''Un monde de chaos, de destruction et de malheur, un monde impartial et magnifique, le seul en tout cas, où faire l’expérience de la vie prendrait un sens véritable.''
               
Edwin Gwendur
 
''L’enfer, ce doit être l’enfer : courir pour l’éternité dans un paysage sans fin, sans début. Sans possibilité de repos ou de mort.''
               
Tyrias Marchemonde
 
''Mais sans risque on n'obtient rien, voici ma devise mes amis. Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains, il ne faut pas avoir peur de la mort…''
               
Dimitri Morteury
 
''Tomber... Ceci est si abstrait. L'on pourrait se relever plus grand que l'on était.''
               
Yozora Adragnis
 
''Il passa des semaines dans le cachot ayant décidé de s'y enfermer lui-même. Puis, au terme de trois semaines, vous êtes venu le voir et vous lui avez dit : «Les larmes ne sont qu'une faiblesse qu'il te faudra masquer... Si tu veux t'apitoyer, libre à toi, mais, si tu souhaites voir les choses changer, tu le peux toujours. Suis-moi... Mon ami.»''
               
Haar Wilder
 
''Le brin d'herbe ne se soucie guère de ce que font les feuilles des arbres. Mais à l'automne venu, les feuilles ne se suffisent plus entre elles. Elles s'assombrissent, se nourrissant des nuages noirs d'orage. Et alors, elles se laissent tomber sur nous.''
               
Le Peintre
 
''S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est immobile, allongée, rigide, puante à en faire vomir, en décomposition, transportant des milliers de maladies, la peau arrachée et les os jaunes. S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est à six pieds sous terre, devenue la proie des corbeaux, et ses yeux mangés par des fourmis... C'est qu'elle a un jour été orgueilleuse et avide. C'est qu'elle a un jour voulu devenir riche et grande, ou bien qu'elle l'est devenue. Cela ne change rien.''
               
Le Violoniste
 
''La pensée est la liberté, la liberté... Alors, le corps est la prison, le corps est la prison... Il faut casser les barreaux.''
               
Sill
 
''Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.''
               
Setsuna Hendenmark
 
''Fais ce que tu veux avec ces villageois, sauf les laisser en vie.''
               
Kaull Hendenmark
 
''La fuite vers la religion peut être une réponse pour certains. Pour d'autres elle n'est que la simple évidence que l'homme est faible et instable.''
               
Astryl Panasdür
 
''La mort ne cherche pas à s’expliquer, elle ne fait qu’agir, monsieur. Les cadavres ne racontent pas grand-chose, mais vivant, un homme peut en avoir long à dire.''
               
Sanaki Hearthlight
 
''Alors, telle une marionnette cassée que l’on tente en vain d’animer, il se releva, restant digne malgré ses blessures.''
               
Dolven Melrak
 
''Quand le sang coule, il faut le boire. La mort ne frappera pas à votre porte mais s'invitera par vos fenêtres !''
               
Andreï Loknar
 
''Personne ne peut capturer une ombre, personne ne peut la dresser ni se l’approprier.''
               
Jazminsaa Alsan
 
''De la même façon, à l'idée qu'un abruti de scribe puisse teinter ses parchemins de calomnies religieuses, ou pire, me faire porter le titre de héros, je vais préférer m’occuper de l'écriture de ma propre histoire.''
               
Alexandre Ranald
 
''La mort... Si belle et terrible à la fois, elle l'appelait, et l'appelle toujours.''
               
Adam Moriharty
 
''Par nature, j’aime tout. Par conséquence, je me hais…''
               
Samaël Apelpisia
 
''C'est sordide et cruel, mais c'est hélas la réalité de ce monde.''
               
Liam Gil' Sayan
 
''Aujourd’hui sur les terres de Feleth les pensées ne sont plus les bienvenues. Le temps de la renaissance spirituelle est terminé. Le temps où les grands penseurs avaient aidé le monde est révolu.''
               
Héra Calliope
 
''La mort était séductrice ; elle ne montrait que ses bons côtés. La sérénité et le calme absolu : pour toujours et sans violence.''
               
Eurybie Pourrie
 
''J’ai atteint cette espèce de vanité qu’apporte l’ancienneté. Je ne crois plus qu’on puisse m’apprendre quelque chose, et si jamais quelqu’un essaye ou y arrive seulement, je me bloquerais et deviendrais hermétique à tout contact.''
               
Dante Waanig
 
''Je devrais t'attacher, tu deviens dangereux pour toi même !''
               
Jeyra Frozeñ
 
''La beauté des êtres n'était rien. La beauté des choses oui. Mais pas forcement celle que l'on voit avec une paire de rétines.''
               
Akira Satetsu
 
''Le noir. Une étendue sombre en perpétuel mouvement.''
               
Melpomène d'Ambre
 
''Il est des oreilles invisibles qui peuvent entendre jusqu'à nos moindres soupirs et des secrets aux allures anodines peuvent se révéler instruments de destruction et de tourments sans fin...''
               
Cassandre Ombrelune
 
''Le "rien" est tellement plus unique que la peur ou n'importe quel autre sentiment...''
               
Meryle Nightlander
 
''Ce n'est pas le nombre ni la force qui compte, c'est l'envie, la cause.''
               
Luyak Salamya
 
''L'innocence d'un enfant est la plus grande peur de l'homme.''
               
Clause Vaneslander
 
''Quand il lui manque une marionnette pour ses spectacles. Il verrait en vous la chose qu'il cherche.''
               
Jack D'enfer
 
''Il n'a pas de notion réelle du bien et du mal, personne ne lui ayant jamais défini ces mots.''
               
Jim Stocker
 
''Je n'ai vu aucune lumière, aucun goulet, pour sortir du boyau infini et obscur que nous empruntons tous, jusqu'à la promesse d'une nouvelle vie, de la transcendance et de la connaissance. Alors, mes yeux se sont adaptés aux ténèbres.''
               
Shaquîlah Dresdeïorth
 
''Le pouvoir ronge l'homme.''
               
Balthazar Bel
 
''Visiblement, la sérénité n'avait de valeur que si on connaissait également, en comparaison, des moments de troubles.''
               
Dranek Barth
 
''Le faible se faisait tuer, le fort vivait un jour de plus.''
               
Rodany Bleinzen
 
''Le soleil se couchait sur le monde du milieu. Les ténèbres se paraient de leurs plus somptueux apparats pour enfin faire leur entrée.''
               
Rin Mephisto
 
''Et alors il vit le chaos, la désolation, la souffrance le désespoir ambiant. Il rit.''
               
Elrog Aniec
 
''Perdu quelque part, marche vers nulle part.''
               
Kyle Wate
 
''La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir.''
               
Karin Yzomel
 
''- Je peux vous prédire le genre d'homme qui vous convient !
- Je connais déjà mon genre d'homme.
- Vraiment... Et quel est-il ?
- Les hommes morts.''
               
Naladrial Delindel
 
''Utilise tes pouvoirs seulement quand le noir deviendra invivable.''
               
Zedd McTwist
 
''Tes cauchemars m'ont déjà donné l'encre... À présent, ta peau me donnera les pages !''
               
Conrart Crowlore
 
''Bien des gens se font enfermer dans un cercueil une fois mort, mais rares sont ceux qui naissent dedans.''
               
Dassyldroth Arphoss
 
''Le corbeau frénétique qui vous nargue de sa voix perchée, agite ses ailes damnées, où le reflet d'un mort se penche sur votre âme.''
               
Lust Aseliwin
 
''La vie est un mensonge, la destruction une délivrance.
Passent les marées, soufflent les vents, en vain...''
               
Le Passant
 
''Fauche, tranche et avale, gouffre des âmes. Que se dresse devant toi mille fléaux, et que l’enfer se glace devant ta noirceur.''
               
Lloyd Vilehearth
 
''Des charognards pour la plupart, comme ces corbeaux à deux têtes, venant dévorer le valeureux mort.''
               
Meneldil Tristelune
 
''Nous sommes les bourreaux de la justice et de la paix. Même si ce rôle n'est pas agréable à endosser, nous nous devons de le faire, pour le bien du peuple.''
               
Ezekiel Le Sage
 
''Il me tarde de retourner au combat pour finir empalé sur une pique.''
               
Karl Von Morlag
 
''Montre-moi le chemin de la victoire. Ou guide-moi alors dans les tréfonds de la mort...''
               
Aznan Lauréano
 
''Comment peux-tu supporter ça ? C'est assourdissant ! Tue-le ! Qu'est-ce que ça te coûte ? Tu ne l'entendras plus. Tu seras en paix... Tue-le !''
               
Aïden Sochlane
 
''- Faites taire votre cabot !
- Je ne suis pas votre servante !
- Alors je le ferai taire moi-même !''
               
Rosaly Von Gregorius
 
''Le seul présent que la justice a à vous offrir, est votre mort.''
               
Mirage Morteury
 
''Laissez-moi vous conduire aux carnages.... Tant d'âmes ne demandent qu'à succomber.''
               
Idryss Leeverwen
 
''Le soleil est un bourreau. D'une simple caresse, sa langue enflammée peut calciner n'importe quel être.''
               
Seïren Nepthys
 
''C'est une nuit sans lune. Ou bien était-ce un jour sans soleil ?''
               
ShuiLong Zhang
 
''La vie est un rouage lent et grinçant. Il ne tourne que dans un sens. Celui où tu tombes.''
               
Camelle Elwhang
 
''Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Feleth pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté !''
               
Edouard Neuman
 
''Le temps est la gangrène de l'homme, elle apparait puis vous ronge à petit feu. Pour finir il ne vous reste plus que le présent pour vivre ; le passé s'évapore peu à peu et le futur ne vous intéresse guère.''
               
Asgeïr Aslak
 
''Cueillir la fleur de la déchéance et croquer dans la pomme de la faucheuse, nos vies se résument à cela car après tout, nous finissons à une moment où un autre, tous sous terre.''
               
Violette Dellylas
 
''Le pire n'est pas de mourir, mais de se faire oublier.''
               
Erwan Daermon Do'Layde
 
''Tenter d'oublier, même si c'était impossible. Il aurait aimé se jeter à la mer avec la preuve de son acte immonde. Laver tout ce sang qu'il sentait sur lui. Peut-être même s'y noyer, simplement. Sombrer dans les abysses et les ténèbres, pour toujours.''
               
Mio Raeth
 
''La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.''
               
Aeli Seoriria
 
''Si la vie n'a qu'un temps, le souvenir n'a qu'une mesure. Le reste est silence.''
               
Valt Horn
 
''Dans le noir le plus complet, l'aveugle est la meilleure personne à suivre. Dans un monde de folie, qui mieux qu'un fou pour nous guider ?''
               
Ledha Borolev
 
''Je ne crois pas en la force d'un absent. Celle qui ferait de vos dieux ce que vous pensez qu'ils sont.''
               
Gigantus Corne
 
''Une limite qui n'a été créée que pour être dépassée ? C'est simple, imaginez !''
               
Goudwin Didrago
 
''Voir grouiller tous ces gens, connaître leurs désirs et leurs rêves, voir comment évoluent les sociétés, leurs aspirations et leurs défauts. Comprendre que donc rien n'est éternel, et que tous ces rêves et toutes ces folies disparaîtront de la surface du monde. Se laisser aller, indolent, parce que tout cela ne servira à rien, et qu'au bout du compte le monde reste le monde, seule éternité immuable.''
               
Uridan Sangried
 
''L'Inquisition vous remettra sur le droit chemin. Même s'il faut vous briser les jambes pour ça.''
               
Leevo Shellhorn
 
''N'oublie pas d'avoir peur des morts. Ils sont toujours plus nombreux que les vivants, et un jour, tu les rejoindras.''
               
Moira Brawl
 
''J'avais l'habitude avec ce genre d'individus... Moins vous bougerez, moins vous leur parlerez... et moins ils vous cogneront dessus.''
               
Aoi Haandar
 
''Je souhaite voir votre sang se répandre mollement à la surface d'une eau rendue trouble par les masses de cadavres vidés de leur substance, marcher dans les champs de vos ossements éparpillés, me remémorant à chaque pas votre mort absurde et pathétique, que vos noms ne soient pas contés, que votre souvenir s'éteigne comme s'éteint votre vie fade et misérable, qu'à travers les années, seuls subsistent vos ossements tels de tristes traces blanchâtres dans un paysage noir de guerre, de sang et de folie.
Et que telles cette phrase, vos morts n'aient aucune importance, aucune signification pour quiconque.''
               
Nargheil Eoss
 
''Bénie soit la haine que tu porteras à ton prochain, lave l'Homme des péchés qu'il a commis.
Sois l'épée du jugement qui s'abattra sur cette race impure, souillée par la vengeance et la corruption.''
               
Meiro Fuuchiuse
 
''Notre futur exprime nos actes passés.''
               
Terence Ripper
 
''Rencontre les ténèbres et tu admireras la lumière, dit le voyant.
Contemple la lumière et tu provoqueras les ténèbres, dit l'aveugle.''
               
Tekian Varis
 
''Un général courageux et fier, est celui qui exécute en premier l'ordre qu'il donne à ses hommes.''
               
Danarius Kyrarion
 
''L'art est le sentiment obscur de l'appropriation de l'étrange.''
               
Leroi-Gourhan
 
''La mort nous sourit à tous, et tout ce que nous pouvons faire, c'est lui sourire en retour.''
               
Marc-Aurèle
 
''L'art est la mystérieuse présence en nous, de ce qui devrait appartenir à la mort.''
               
Malraux
 
''L'art est une profondeur creusée dans le visage du monde.''
               
Weischedel
 
''Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ?''
               
Schopenhauer
 
''Les avocats d'un malfaiteur sont rarement assez artistes pour tourner à l'avantage de leur client la belle horreur de son acte.''
               
Nietzsche
 
''Ôte-toi de mon soleil.''
               
Diogène le cynique
 
''Il y a pas d’œuvre d'art sans collaboration du démon.''
               
André Gide
 
''Ce n'est pas le lieu mais son cœur qu'on habite.''
               
John Milton
 
''Nous sommes les histoires que nous vivons.''
               
Auteur inconnu
 
''La mort est terrible pour n'importe qui. Bons ou mauvais, anges ou démons, c'est la même chose. La mort est impartiale. Il n'y a pas de mort particulièrement horrible. C'est pourquoi la mort est effrayante. Les actes, l'âge, la personnalité, la richesse, la beauté... Tout ça n'a aucun sens face à la mort.''
               
Fuyumi Ono
 
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 Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black]

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Pandora "Eden" Crohen



________________

Pandora
________________


Race : Demi-Démon Commun
Classe : Druide ondin - Lame noire
Métier : Médecin - Assassin
Croyances : Aucun
Groupe : Confrérie de l'Ombre

Âge : 20 ans - 3000 ans

Messages : 34


Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black] _
MessageSujet: Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black]   Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black] EmptyMer 1 Fév 2012 - 19:26

Les nuages étaient empreints d’une valse que peu connaisse mais rien ne détruisait sa beauté dans le ciel. Le soleil vacillait de temps en temps, pour se montrer et éclairer les verdures ombragées, et les ruines avoisinantes. C’était le début de l’après – midi, il faisait beau malgré un petit vent qui circulait calmement. Quelques arbres marquaient le sol de leur présence, en laissant trainer leur ombre. Une odeur fraiche de nature embaumait l’air. Tout était paisible et si calme qu’Eden fut dégouter, et fit sa vilaine dans l’esprit de Pandora. Alors que celle – ci se promenait paisiblement, marchant pieds nus dans l’herbe. Elle tenait dans ses mains des ballerines brunes en peau d’animaux, décoré par des lainières qui se croisèrent. Elle chantonnait une chanson ancienne que lui soufflait la terre dans un murmure inaudible aux oreilles des Hommes dit « normaux »

Pandora avait son bandeau sur les yeux, car la lumière du soleil lui faisait quand même un peu mal. Cependant, elle voyait très bien comme si elle n’avait rien sur les yeux. Elle portait un pantalon beige un peu bouffant vers la fin, fermé par des lanières au cheville, et pour haut, elle avait un bustier brun plus foncé, recouvert d’une veste sans manche noire, avec un capuche, ou les bords étaient décorés par de la fourrure. Une ceinture blanche était sous sa poitrine, la faisant ressortir un peu plus. En bandoulière, elle avait toujours sa sacoche avec son nécessaire de médecine. Elle marcha calmement, essayant de ne pas s’énerver sur Eden. Qui, trépignant d’impatiente grommelait dans l’esprit de Pandora… Le soleil lui paraissait bien trop présent pour se réveiller, et faire mumuse. Cependant voir Pandora sereine l’agaçait…

Seulement Pandora l’ignora, et la laissa se calmer toute seule. Elle vit au loin un lac. Un sourire s’afficha sur son visage. L’eau était la douceur des astres qui embaumait son cœur, son corps tout en entier dans un calme reposant. La voix d’Eden ne fut qu’un lointain murmure presque inaudible tellement elle était absorbée par l’étendue de l’eau qui s’annonçait face à elle. Elle pressa le pas. Elle était comme enivrer par toute cette odeur de vie… Que son pouvoir de croître les végétaux se fit envahissants. Des marguerites marqua son chemin, s’ouvrant au monde comme si de rien n’était. Donc chaque pas qu’elle faisait, ouvrait à une nouvelle fleur. Eden témoin de ca dans son sommeil cria par la pensée « C’est dégoutant ! »

Pandora arriva enfin au rebord de l’eau, s’accroupit, et fixa les tumultes doux de l’eau que le vent caressa. Elle posa ses chaussures à coté d’elle. Elle toucha l’eau de ses doigts, laissant chaque goutte tombait dans un petit bruit… L’eau était délicate, envieuse, et belle, sans être froide. Cela la relaxait, puis elle eut envie de s’y baigné. Elle se redressa, enleva son pantalon en dénouant les lanières… Le laissa glisser contre ses jambes, et enleva un pied après l’autre. Ensuite, elle enleva sa sacoche, suivant de sa veste. Elle dénoua sa ceinture, et retira son haut, puis son bandeau… Elle ne voulait pas le mouillé. Elle était à présent en sous – vêtement. Un soutien – gorge en lin blanc, et une culotte dans le même tissu. Elle mit un pied dans l’eau, puis l’autre tout en continuant de chanter doucement, le souffle qu’on lui insuffle dans tout son corps.

« Douce eau, douce avenir, sois mon lit, le temps que je me berce dans tes bras… Le temps que je rêve doucement dans les draps onctueux que toi, l’eau m’offre. »

Elle avança entrant peu à peu dans l’eau. Quand ce liquide incolore arriva à sa taille, elle plongea pour profiter un temps de ce lac, se moquant de ce qu’il se cache, et des prochaines minutes… Après tout, l’eau est un de ses amis du moins pour Pandora… Eden préfère le feu… Normale pour une démone.
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Akoru Black

Ombre

________________

Akoru Black
________________


Race : Humaine
Classe : Lame noire
Métier : Ombre
Groupe : Confrérie des Ombres

Âge : La trentaine.

Messages : 13


Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black] _
MessageSujet: Re: Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black]   Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black] EmptyMer 1 Fév 2012 - 20:50

En ce début d'après-midi ensoleillé,
l'Ombre marchait simplement. Il avait reçu une permission de la part
de la confrérie et avait décidé de s'éclipser un peu de la vie
urbaine. Ne sachant pas trop où aller, il s'était muni de son sac
de voyage et de quelques provisions. Il portait une cape rouge
sombre, qui recouvrait sa tunique en cuir noir. Veher, sa lame
maléfique, était attachée dans son dos, le manche surplombant son
épaule droite. A sa ceinture se trouvaient différents petits
ustensiles qu'il utilisait pour se débrouiller seul, chasser,
cueillir ou pêcher. Alors qu'il marchait paisiblement au milieu de
la plaine, il s'arrêta soudain. Ou plutôt Veher le força à
s'arrêter.

Sur ses gardes, l'assassin tourna lentement sur
lui-même mais il ne trouvait pas la source d'inquiétude de Veher.
Il l'avait rarement sentie ainsi. Pourtant ils n'avaient pas soifs,
ils avaient assouvis leur besoin la nuit précédente dans un petit
village de fermiers et de brasseurs, discrètement. C'était la
première fois qu'ils voyageaient dans ces ruines, peut-être Veher
était-elle méfiante par nature ?


- Qu'est-ce qu'il se
passe ? Pourquoi est-ce que je te sens si tendue ? Quelque
chose ne va pas ? Tu as encore soif ?


* Non, non, ce
n'est pas ça. Je ressens une autre présence.*




- Normal, je suis là aussi si tu
n'avais pas remarqué.


* Une autre présence maléfique
crétin. Une sorte de démon, mais sa trace n'est que très faible,
presque effacée. Je la sens plus loin devant nous. *


- Et
bien allons-y alors ! S'exclama Akoru avec un entrain assez
rare. Il n'avait jamais vu Veher aussi craintive, aussi cela l'amusa
de la sentir essayer de le retenir.


* Sois plus discret ou tu
risques de le regretter. *


Suivant les ordres de sa lame, il
s'accroupit et avança plus lentement au milieu des ruines. Certains
guides rencontrés lui avait indiqué qu'il se dirigeait vers un lac.
Le soleil étant encore haut dans le ciel, Akoru n'était pas pressé
de s'y rendre pour passer la nuit, mais maintenant que sa curiosité
était piquée au vif, il accéléra le pas. Ses bottes en cuir
s'enfonçaient dans les herbes et dans le sol mousseux de plus en
plus profondément, le sol devenait de plus en plus meuble au fur et
à mesure qu'il s'approchait du lac. Après quelques minutes de
marche, il arriva au lac. Se faufilant discrètement entre les
arbres, l'Ombre ne vit rien de spécial apparemment.

Après
quelques minutes d'observation, il repéra une jeune femme se
baignant. Réprimant un sourire amusé, Akoru s'adressa à Veher.



- Alors, c'est ça ta présence
maléfique ? Tu es franchement un peu paranoïaque, on a déjà
combattu pire comme monstre infernal. Ce n'est qu'une femme.


*
Je vois par tes yeux, tu n'es pas obligé de me la décrire. La
présence maléfique est très marquée autour d'elle. C'est une aura
qui émane de son corps.
Mais qu'est-ce que tu fais ? Arrête
tout de suite !*




Avant que Veher ne puisse réellement
se ressaisir et arrêter Akoru, celui-ci avait déposé rapidement
ses affaires, ses bottes et s'était élancé à l'eau, se dirigeant
vers la jeune inconnue.


Spoiler:
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Cayn Howl



________________

Cayn Howl
________________


Race : Demi-Démon Commun
Classe : Lame Noire
Métier : Ombre - ancien Contrebandier
Croyances : Aucune
Groupe : Alliance des Ombres-Confrérie des Ombres

Âge : 29 ans

Messages : 85


Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black] _
MessageSujet: Re: Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black]   Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black] EmptyMer 1 Fév 2012 - 21:57

Le Conseil… toujours et encore ce maudit cercle administratif des plus contraignants. Après avoir joué les mentors avec Enora, voilà qu’on m’envoyait traquer l’un de nos nouveaux confrères, ce certain Akoru Black.

Je l’avais entraperçu et j’étais présent lors de son ascension en tant qu’Ombre. Mais fraîchement de la compagnie, on m’avait imposé une petite enquête à son sujet.

-On ne peut pas certifier sa fiabilité, son arme le rend instable. Constate les faits et dit nous s’il ne prend pas un peu la grosse tête…

C’est plus où moins les ordres que j’avais reçu. Après des mois de glandouilles, à me pavaner dans le luxe de mes appartements, la confrérie avait jugé bon de me tenir dans leur collimateur, afin de rattraper du service. Par vengeance certainement, ils ne m’envoyaient plus dans des périples à gros risques, me plongeant plutôt dans quelques missions dérisoires et dépourvues de sens. J’avais certifié ne plus vouloir entendre parlé de ce genre de baliverne, de quête en carton tout juste bon pour les sous-fifres mais non, je ne pouvais rien faire, courber l’échine alors qu’ils insultaient mon rang d’élite.

* Quand je pense que l’année précédente, je dirigeais une petite troupes d’ombre, afin d’investir les affaires politiques de Mador
ass causant désolation parmi les capes Blanches, et vlà qu’on m’envoi cueillir le blé, putain… *



J’avais donc négocié un arrangement, garantissant que c’était la dernière supercherie qu’ils m’affecteraient, après quoi, il me renverrait embellir ma notoriété qui commençait à en prendre un sacré coup.
Dans les galeries de la Confrérie, certains avaient même osé m’appeler professeur Howl, j’imagine que mon châtiment relevait de mon attitude, quand je n’avais pas supporter la provocation et que j’avais brisé les doigts de ces quelques plaisantins.

Enfin voilà que j’avais entamé de longues trottes à dos de monture. J’avais pisté le nouveau qui n’avait pas manqué de trahir son besoin sanglant, mais ça ne rentrait pas dans les consignes de la Confrérie, je n’avais donc aucun rapport à transmettre. En attendant, il avait poursuivit sa route dans cette végétation des plus reculées, dans ces vieilles ruines qui me rappelait un combat épique, lors de l’éveil d’un ancien démon, qui avait dévasté un village au alentour. Quand je pense que deux années s’étaient écoulées depuis lors, à croire que le temps me tient aussi par la bride.

Mais soit, j’en avais marre de jouer les pisteurs, se dissimuler derrière les arbres c’étaient divertissant qu’un moment mais là j’allais craquer.. Au pire, je pouvais encore donner un faux rapport, après tout, rien ne s’y opposerait, n’est-ce pas ? Bon peut-être était-je un peu nerveux, de suivre un cadet comme un bon toutou, peut-être que me désaltéré serait plus judicieux, afin de calmer mes pulsions de rebelle arriéré.

Sans perdre une seconde, je m’approchais à une extrémité du lac et aperçu une jeune femme, beaucoup trop loin pour distinguer la finesse de ses traits. Tant pis, je me rincerais l’œil en ville, comme de coutume. Là je remplissais ma gourde quand je vis l’autre individu, en l’occurrence, « ma cible ».

Je m’écartais du lac et m’enfonçait dans une touffe de verdure, la frondaison m’offrait une cachète des plus efficaces mais je ne supportais pas la présence des insectes qui n’hésitaient pas à se coller à ma peau collante. (Je l’ai pas précisé mais depuis ma traque, je n’ai pas eu une seconde à moi pour m’extirper de la sueur du voyage).

Je prend une lampée au goulot de mon outre, la rasade me rafraichit tandis que j’observe Akoru, plongeant dans l’eau afin d’atteindre l’autre personne.

* J’espère que c’est pas un violeur… Remarque, ça pourrait changer de la monotonie du quotidien… * ironisais-je dans une pensée sombre…
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Pandora "Eden" Crohen



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MessageSujet: Re: Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black]   Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black] EmptyVen 3 Fév 2012 - 23:07

Les poissons étaient comme des oiseaux dans le ciel. Ils donnaient l’impression volé, et que les algues étaient des arbres aux sommets si lointain que le ciel n’aurait pas de place pour eux. Pandora voguait dans cette eau, préférant être dans les profondeurs, pouvant respirer sous l’eau… Elle nageait comme une sirène vivant sous l’eau, ne pouvant pas sentir la terre sous ses pieds. Elle sentait libre, et savait qu’Eden ne viendrait pas l’embêter vu qu’elle ne supporte pas les profondeurs marins… Et qu’elle ne veut pas mourir. Elle était libre, le temps de la baignade, et cela lui convenait. Par moment, elle sortait de l’eau pour voir aux alentours. Cependant c’ était bien rare. Elle nageait tranquillement donc, regardant le monde des abysses marins vivre quand soudain… Son cœur batta plus vite un coup, et un murmure lui souffla

*Ca court… *

La terre avait parlé dans un souffle que, elle seule pouvait entendre, comprendre. Mais pas Eden l’entendait. La terre trouvait même Eden trop cruelle pour lui accorder quoique ce soit. Elle s’arrêta de nager, ne comprenant pas. Pourtant cette phrase ne cessait pas d’être répétée à son intention. Elle remonta vite fait vers la surface. Elle voulait comprendre, savoir qui courait. Etait – il dangereux ? La terre lui souffla juste le mot…Méfiance… Alors que sa tête sortit de l’eau suivant de son cou, de ses épaules, et que l’eau s’arrêta au début de sa poitrine. Un homme alla vers elle dans les tumultes de ce liquide.

Elle se faisait balancer par ses vagues bougeant de quelques centimètres. Elle attendait qu’il s’approche d’elle, que l’eau l’atteigne au torse.… Cependant elle restait sur ses gardes. Ne sait-on jamais, ce qui se cache dans cet être qui s’élancer vers elle. Eden lui soufflait qu’elle voulait sortir, pour lui arracher le cœur mais Pandora lui dit non… Elle voulait qu’elle reste en elle, et lui laisse le temps vivre cette journée. Pandora le fixa curieusement, elle voulait savoir.

« Qui es tu ? Que veux tu ? Simplement te baigner ? »


Même pas un bonjour n’avait effleuré ses lèvres. Juste des questions qui avaient toutes un sens pour elle. Elle attendait patiemment une réponse. Quand son corps se mit à trembler, ses sens en éveillent. Le vent passait dans les herbes hautes… Une odeur de sueur s’en échappa mais resta invisible au nez de Pandora. Pour la terre la sentit, a détecter… A finalement le reperer dans la masse de ses bras.


*Ca se cache… Ca espionne…Ca…*

Pandora écouta cela. Cela l’intriguait. Avait – il quelqu’un dans la prairie. Elle souffla fort, passa à coté de l’autre homme, et s’approcha du bord.

« Sort de là, je sais qu’il y a quelques choses, ou quelqu’un… Sort de là ! »

Elle criait ses mots dans le vent. L’inconnu aurait pu croire qu’elle était folle, mais non elle ne l’était pas. La terre lui avait dit, et elle ne se trompe que rarement. Elle lui faisait confiance, mais ne savait pas ou il était vraiment. La localisation était proche, les plantes lui disent que c’est un homme, enfin un humanoïde…


« Montre toi ! »

Elle finit par faire pousser des ronces sur le sol pour qu’il soit obligé de se lever. Elle fit cela simplement en touchant la terre. La terre se déchira paisiblement et des ronces y sortirent, bien pointu, sur une grande étendue. Elle avait décidée qu’il était temps qu’elle agisse au lieu d’attendre son bon vouloir. Pandora se retourna ensuite vers l’homme qui était dans l’eau.

« Dis moi tu n’es pas venu seul ? »
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MessageSujet: Re: Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black]   Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black] EmptySam 4 Fév 2012 - 10:19

Akoru ne fit pas dans la discrétion. Courant bruyamment dans l'eau, celle-ci voltigeait tout autour de lui à chaque fois que son pied sortait et rentrait dans le liquide. L'eau n'était pas trop froide et Akoru s'en étonna, le soleil n'était pourtant pas très puissant en cet après-midi. Veher toujours accrochée dans son dos n'arrêtait pas de hurler dans sa tête que c'était une mauvaise idée, qu'il vaudrait mieux qu'il recule et s'en aille ou encore que c'était la dernière fois qu'elle le laissait se comporter ainsi. Chaque pas le rapprochait de la jeune femme. Il put la distinguer un peu plus précisément. Elle était svelte et avait les cheveux violets. Ce qui était assez original.

L'Ombre continuait de courir dans l'eau, des éclaboussures accompagnant chacun de ses pas, lorsque soudain, son pied ne toucha plus le sol. Il descendit d'un coup mais réussit tout de même à se stabiliser. Seule sa tête dépassait de la surface de l'eau. En face de lui se trouvait, à quelques mètres, la jeune femme. Celle-ci avait de l'eau jusqu'à la poitrine. Akoru en conclut donc qu'elle devait avoir pied et qu'il s'était peut-être un peu trop éloigné de la rive du lac. Revenant sur ses pas, il réussit à sortir son torse de l'eau et avança un peu plus prudemment.

La jeune femme le regardait étrangement. Elle lui posa deux questions, de manière assez impolie et sèche. Ensuite, sans attendre de réponse, elle se tourna vers la rive et commença à parler toute seule. Cela commençait à devenir vraiment intéressant. Elle se sentait observée. Une paranoïaque ? Lorsqu'elle se pencha et commença à faire pousser des ronces sur la rive, Akoru n'en crut pas ses yeux. Rares étaient les personnes pouvant réaliser de tels actes. Peut-être était-ce une sorcière ? Ou pire, un démon ? Pourtant ses yeux ne trahissaient aucune pulsion démoniaque ni aucun piège. Mais Veher recommandait toutefois la prudence.

- Je vais répondre à vos questions dans l'ordre.
Akoru fit mine de ne pas être trop impressionné par les talents de magie de la jeune femme. Aussi emprunta-t-il un ton plutôt détaché et léger.
Alors pour commencer, je me nomme Akoru. Ensuite, ce que je veux est assez difficile à expliquer, mais « quelque chose » m'a dit qu'il y avait une présence ici, aussi suis-je venu voir par moi-même. Et sachez madame (ou mademoiselle?) que la baignade n'est pas mon passe-temps favori. Mais je suis ici en « vacances », alors je n'ai pas envie de m'ennuyer. Mais j'avoue être venu seul ici, pour répondre à votre dernière question.


Akoru emprunta un ton enjoué pour parler à cette jeune femme. Il ne cherchait ni ennui, ni conflit mais s'était décidé à éclaircir ce mystère de présence maléfique. Discrètement, il demanda à Veher si elle aussi sentait encore une autre présence sur la rive. Mais celle-ci boudait et était bien décidée à ne pas lui répondre ni à l'aider. Ce n'était pas facile tous les jours de posséder une lame qui possédait un caractère féminin, rapidement vexée et souvent de mauvaise humeur.

- Mais avant que je ne vous pose moi-même des questions, je propose que nous sortions de l'eau et allions nous-même vérifier s'il y a quelqu'un d'autre sur le rivage ? Et en y allant, nous pourrions discuter tels des êtres humains normaux. Même si j'ai cru remarquer que vous possédiez quelques talents pour la magie. Êtes-vous une sorcière ou quelque chose dans ce style là, n'y voyez pas là une quelconque insulte mais juste de la curiosité. Personnellement, je vais essayer de trouver quelqu'un pour m'apprendre cet art, mais ce n'est pas facile, j'ai déjà essayé auparavant mais j'ai eu quelques problèmes.

En parlant, Akoru commença à se diriger vers la rive du lac, là où les ronces avaient poussé.

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MessageSujet: Re: Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black]   Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black] EmptySam 4 Fév 2012 - 19:26

Bordel, c’est juste n’importe quoi ! Indétectable, je pense que c’est le mot qui aurait pu me définir en cet instant. Ma position imperceptible se retrouvait pourtant en conflit, avec la silhouette féminine qui ne cessait de m’interroger.

*Il est clair, qu’on ne me vois pas, qu’on ne me sent pas ou encore qu’on ne m’entende, putain… C’est comme si la nature lui avait soufflé ma position…*

Je reste cependant interdit, déstabilisé, je n’ai sûrement pas l’habitude d’être pris au dépourvu, comme cette étrangère venait de le faire. Le comble, c’est qu’elle n’était qu’un obstacle dans mon objectif, ce qui m’intéressait c’était de suivre Akoru et voilà qu’elle s’en mêlait pour tout jeter au orties. J’ignore encore une fois ses recommandations, je ne veux pas me révéler, c’est juste hors de question.

Mais bon, il semblerait que je n’ai plus le choix, des ronces à mes pieds s’éveillent et n’hésiteront pas à m’enchevêtrer si je demeure dans ma pose accroupie. Je soupire en sachant que c’est foutu, si je combat ces bouts de plantes, je suis réellement détecter, alors pour ne pas foncer aux hostilités, je concède à me rendre. Enfin à me rendre, j’abandonne donc mon objectif premier, ne me reste plus qu’à prévoir un plan b.

Me redressant souplement, j’entends cependant l’une de mes rotules émettre une plainte dans un craquement, à la frontière du ligament. Tandis que mes cuisses crispées par ma précédente posture, me balance leur rancoeur à coups de bourdonnement dans les jambes.

Je quitte donc les fourrées, évitant soigneusement les ronces prédatrices pour me placer à découvert. Révélant donc une tunique grossière mais idéale pour la filature en forêt. Un gilet forestier kaki pour se dissimuler dans les feuillages, un pantalon de lin noir, relativement discret ainsi qu’une épée longue suspendue à ma taille, tandis que le fourreau verdâtre et scrupuleusement laid vient parachever cet attirail des plus modestes.

Remarquant un brin d’effarement dans leurs yeux, distinguant ce qui semble être un véritable homme des bois avec ses longs cheveux châtains foncés, pratiquement ébène, cascadant sur ses épaules et décorée d’une barbe goulue de plusieurs jours, j’analyse moi-même le laisser aller auquel je succombe de par l’ennui de rester figer dans l’ombre. Mais au moins, je peux tenir un rôle et la tunique horrible que je porte, c’est juste pour faciliter ma discrétion en forêt. Bien qu’il semblerait, que ça n’ait guère suffit.

-Bonjour jeune gens… (bon ok je suis pas beaucoup plus vieux qu’eux, en apparence, mais je suis encore impressionné par la mise à sac de ma précédente filature).

-Je n’ai pas grand chose à dire si ce n’est que c’est curieusement que je me demandais ce que vous faisiez ici. Après tout, cette forêt est loin d’être tranquille, on peut y trouver des choses redoutables…

Je scrute de mes iris d’un gris pâle des plus singulier mes interlocuteurs, heureusement que ma tunique change extrêmement mon physique ainsi que mon charisme. La je dois avoir juste l’air d’un bel homme qui à un cruel manque de gout vestimentaire.

-N’ayez craintes, je ne faisais que vous observer loin de moi l’idée de vous nuire... Mais que faites vous ici, ce n’est pas un lieu touristique, êtes vous à la recherche d’un vestige ou d’un trésor ancien ?


Je balance connerie sur connerie de toute façon, ce que je dis ça c’est le genre de bluff très simple qui peut passer assez facilement. Là où je joue de la subtilité, c’est dans mes réactions gestuelles que j’ai déjà adaptées comme un montagnard au contraire de mon habituelle prestance d’homme arrogant et sûr de lui.
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MessageSujet: Re: Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black]   Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black] EmptyDim 12 Fév 2012 - 1:00

Pandora fixait l’horizon en fermant les yeux comme si elle ne voyait rien. Seulement elle voyait, la terre lui dévoilait tout, seulement les distances n’étaient pas juste, car les vibrations de l’eau s’en mêlait. L’homme qui se trouvait dans l’eau lui répondit. Son regard ne se posa pas sur lui, comme si il était un élément du décor. Elle voulait que l’homme cachait se dévoile, mais écouta quand même les réponses. Elle souffla. Elle avait déjà entendu son nom au sein de la confrérie mais sans plus… Serait – il du même clan ? Surement. Pandora s’en moquait. Ce n’est pas elle qui voulait y entrer mais Eden et pour que la démon la laisse plus ou moins tranquille, elle a fini par accepter. Donc la voilà dans un clan sanguinaire, et violent… Enfin, en tant que médecin, elle utile mais bon… Elle finit par ouvrir ses yeux fixant les herbes qui se faisaient balayé par le vent.

« Akoru ? C’est cela… Je ne suis pas une sorcière…. »

Pandora disait ces mots comme des soufflements alors que son regard se figea dans un groupement d’herbe. Elle savait que quelqu’un se cachait, et savait aussi que si il ne se levait pas, il finirait par le faire de force. Donc elle attendait sagement que tout cela bouge et s’éveille. L’eau est élément ou elle se sent bien. Elle est capable de respirer sous l’eau, de vivre et de se protéger avec. Alors quand ce fameux Akuro demanda de sortir de l’eau, elle secoua vivement la tête en signe de désaccord. Elle préférait l’étreinte de l’eau que l’inconnu des herbes hautes…

« Ne sortons pas, enfin moi je ne sors pas ! Il y a réellement quelqu’un qui se cache la bas ! »

Elle pointa du doigt la direction ou elle pensait que l’homme se trouvait quand il sortit. Elle s’était trompée de quelques centimètres. Bon d’habitude, c’est de bien plus vu que normalement c’est rare que se soit en plein nature comme là ! Enfin, pas rare mais pas fréquent ! Elle garda un visage neutre face au nouveau venu, enfin au lièvre qui sort de sa tanière.

« Akuro, tu le connais ? »

Elle prit son bandeau qui était sur le rivage, et le mit sur ses yeux. Le soleil lui brûlait un peu les pupilles, et des larmes coulèrent doucement sur ses joues. Pourquoi avoir demandé cela ? Une intuition ! La terre n’avait rien dit, c’était juste elle qui supposait que peut – être… Après tout, que ferais un homme à ce caché alors qu’il n’a aucune raison. C’est là, qu’il parla. Elle n’aimait pas sa façon d’agir, comme si c’était normal qu’on se cache et qu’on espionne…

*Secret… Faux…*

Voilà deux mots que la terre souffla. C’était un mystère pour elle, mais elle décida de se méfier de lui. Et des questions lui vinrent à l’esprit. Elle voulait comprendre les mots dits par la terre.

« Vraiment pas nous nuire ? alors pourquoi nous espionner, enfin l’espionner lui ? »

Elle disait cela en pointant du doigt akoru. Elle ne l’avait pas senti avant que l’autre ne vienne donc elle supposait que c’était pour lui qu’il était là, mais n’en était pas sur.

« Ta présence n’est que depuis que Akoru est là ! Je me baigne… Ca ne se voit pas ? » Finit elle par répondre à l’homme des herbes.
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MessageSujet: Re: Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black]   Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black] EmptyDim 12 Fév 2012 - 13:55

Une sorte de détritus humain sortit des ronces et vint à leur rencontre. Akoru était un peu étonné que Veher n'ait pas senti cette présence mais bon, les pouvoirs de la jeune femme devaient sans doute être bien supérieurs aux siens. Le fait de faire cette constatation lui remémora un épisode sanglant de son histoire lorsqu'il voulut apprendre la magie. Mais il ferma son esprit à ces souvenirs douloureux et ne montra pas sa gêne quant au fait qu'il se trouvait en présence d'une sorte de magicienne.

L'homme mal habillé ressemblait à un mendiant, pourtant sa tête lui disait quelque chose.
Veher trépignait d'impatience, il semblait qu'elle aussi connaissait cette tête, mais ne se souvienne plus d'où est-ce qu'elle l'avait vue. Akoru donna l'ordre à sa lame noire de se calmer et de le laisser parler cette fois, mais Veher ne lui en laissa pas l'occasion. Rapidement, elle prit le contrôle du jeune assassin et parla par sa bouche.

- Et bien, voilà une étrange rencontre n'est-ce pas ? Nous avons un espion, qui apparemment nous suivait ? Enfin, selon les dires d'une magicienne. Seulement cette magicienne nie être une sorcière, alors que je ressens une présence froide et maléfique en elle. Ce n'est pas bien de mentir, comment auriez-vous ces dons, ces pouvoirs ?
Et vous, qui êtes-vous pour nous espionner ? Depuis quand est-ce que vous nous suivez ? Et ne venez pas me dire que c'était pour nous prévenir des dangers que cette région pouvait contenir. Je sens une certaine puissance en vous, vous n'êtes pas ici simplement pour faire de la prévention. Mais quoi qu'il en soit, une fois que j'aurai la réponse à mes questions, je vous laisserai et m'en irai.
J'ai soif.


Veher finit son discours et rendit les commandes à Akoru, qui faillit se séparer de sa lame, mais il savait bien qu'ils étaient liés et qu'il ne pourrait jamais s'en séparer, sauf si Veher décidait de le quitter, comme elle l'avait fait avec son précédent "maître". L'assassin n'était pas aussi à l'aise que sa lame en présence de ces personnes, il avait l'impression qu'ils cachaient tous un secret, tout comme lui.

Et qu'aucun d'eux n'accepteraient jamais de le révéler, sauf si les autres le révèleraient. En tout cas, il ne parlerait jamais de sa lame.
Après que Veher ait parlé, l'assassin s'excusa et sortit de l'eau, il laissa la jeune femme se baigner et se rhabilla et reprit son équipement. La sorcière ne voulait pas sortir de l'eau, c'était assez étrange. Une fois ses affaires récupérées, l'Ombre se redirigea rapidement vers l'homme qui sortait des ronces.

- Tiens, maintenant que j'y pense, vous ne vous êtes pas présentés tous les deux. Je suis le seul à avoir mentionné mon nom, maintenant j'aimerais connaitre les vôtres. Histoire de faire plus ample connaissance.
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MessageSujet: Re: Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black]   Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black] EmptyMar 14 Fév 2012 - 0:09

Le comble… Je pense qu’il n’y avait pas meilleure façon de décrire le grotesque de la situation. Mes pensées déambulaient dans un tourbillon de réflexions confuses. Que pouvais-je faire face à l’irrégularité de cette rencontre ? Comment envisager la réussite de mon objectif ?
Tout ça se mourrait dans les frondaisons de mon esprit. De toute évidence, j’allais devoir improviser, une application que j’avais pourtant l’habitude de franchir à la seule singularité qu’elle m’extirpait de mon contexte habituel.

La femme avait de quoi susciter le doute, c’est presque comme si elle lisait dans mes pensées, ce qui s’avérait véritablement contrariant. Je lui répondis par un silence contenu tandis qu’Akoru écourtait la distance qui nous séparait. Je n’avais pas encore pris conscience que mes mains coulissaient sournoisement en direction d’une dague, enfouie dans les plis de mes coutures médiocres.

Sa voix prenait un ton des plus étranges, comme si une entité avait prit possession de son corps, bien entendu ce n’était qu’une impression, mais depuis le temps que je l’observais, j’avais pu remarquer une certaine affection étrange à l’égard de son épée, comme si il en souffrait d’une dépendance. J’étais moi-même matérialiste, mais lui dépassait carrément tout ce que j’avais pu contempler auparavant.

-Bon il est inutile de jouer au gentil bougre forestier. Vous avez bien raison… je ne suis pas celui que je laisse supposer être… » Bien évidemment, je n’avais pas l’intention de trahir ma véritable identité mais je débitais des mensonges très facilement, à telle point qu’ils en devenaient naturels. « En fait, je suis un collecteur de prime et par temps libre je fouille les lieux reculés afin d’y déceler quelques artefacts. En effet, je vous suivais, dans le but que vous m’ameniez à une certaine fortune, je dois bien l’admettre. Je me suis dis qu’un individu de votre trempe, se montrerait assez ambitieux pour me guider droit sur l’or. Veillez m'en excusez.

Alors qu’ils me jetaient un regard curieux, j’enlevais la tunique horrible, me soulageant d’un poids vestimentaire. Nullement nu, je portais sous la tunique d’autres habits, bien plus à la hauteur de ma réputation mais pas non plus assez révélateur sur l’étendue de ma bonne fortune. Une chemise d’un blanc cassé reflétait par quelques rayons de l’astre diurne, un tissu de facture noble. Tandis qu’un pantalon en fibre noir, contrastait largement avec mon haut. Je m’avançais tranquillement en direction de l’eau, je pouvais en deviné sa froideur, rien qu’à la température dégagée par la clairière. Sans m’attarder sur leur scrutation, se méfiant certainement de moi, j’ôtais ma chemise, révélant un torse couturé de cicatrices passagères, tandis que des tatouages ésotériques maculaient plusieurs partie de mon épiderme. Bien entendu, mes bras étaient bandés, recelant des marques qui aurait pu révéler mon affiliation à la Confrérie des Ombres.

Je profitais dés lors de la fraicheur de l’eau, me relaxant d’une filature des plus accablantes. Alors que je savourais ma baignage totalement imprévue, je pouvais entendre « ma cible » quémander nos présentations.

Je n’eus aucun mal à fournir une fausse identité.

-Je pense vous l’avoir déjà fais comprendre, aventurier, chasseur de prime, dans l’ensemble rien de bien extraordinaire. Vous pouvez m’appeler Laucian, car tel est mon nom.

Je concédais le droit au silence, les murant dans leurs réflexions tandis qu’un bruit au loin m’alertait d’une présence hostile. Peut-être un prédateur affamé ? Pour l’instant, je n’avais aucune raison de m’alarmer, la chose, ne tarderait plus à se dévoiler au grand jour…
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MessageSujet: Re: Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black]   Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black] EmptyMer 15 Fév 2012 - 19:33

Pandora était assez perplexe. La scène qui eut lieu devant elle s’animait comme une pièce de théâtre. Les acteurs jouaient comme des pantins dont les fils se brisèrent…. Elle recula dans l’eau, jusqu’à n’avoir plus pieds. Elle savait très bien nager et les profondeurs ne lui faisaient pas peur. Elle préférait l’eau à ce moment là, car elle est capable de la protéger, et pouvait même être une arme. Elle écouta ce monde jouait son acte devant ses yeux violets, et elle souffla. La terre lui soufflait qu’Akoru n’était qu’un patin, mais le pantin de qui ? Pandora n’aimait pas les mots d’Akoru…

« Tu n’es pas lui, ce n’est pas lui qui a parlé… Que sens tu ? Une entité ? Et alors… Qui es tu pour dire cela ? Mes dons sont le résultat….»


Pandora baissa la tête, et s’était tue car elle repensait à toutes ses années ou elle a subi ses expériences… Un frisson parcourut son dos, le long de sa colonne vertébrale et la tristesse avait marqué son visage. Cependant après quelques minutes de silence sans bouger, elle releva la tête les fixant. Elle avait compris que ce n’était pas la même personne qui avait parlé, vu qu’elle connait cela, habitant avec une autre entité. On aurait limité cru qu’une femme parlait à sa place. C’est assez bizarre, trop pour être qu’une illusion.

Voilà elle avait plus ou moins répondu, et n’allait pas insisté. Ce qu’il sent sur elle est juste mais pourtant elle n’était pas une sorcière, juste une druidesse ondine. Ce qui n’avait aucun rapport avec les sorcières. C’est alors que « Lucian » se présenta, et avoua ces intentions… Seulement Pandora resta méfiante, et ne comprenait pas pourquoi la terre resta ainsi, ancrée dans des mots comment faux, illusion… Pandora laissa juste sa tête sortir de l’eau, alors que Akoru sortit complètement de l’eau, et que l’autre entra. Elle avait examinait les moindres partie du torse… D’étranges marques étaient gravées dessus, et puis des bandages recouvraient ses bras…. Pourtant ce n’était pas des bandages pour la guérison des plaies. Elle était médecin et donc savait voir la différence entre un bandage pour des soins et un bandage pour autres choses… Il entra dans l’eau, dans l’antre de Pandora, son univers dont elle pouvait contrôler la moindre goutte d’eau… Il avança plus dans l’eau, comme si il savourait ce moment.

Elle soupira quand elle entendit Akoru redevenir lui-même et il demanda son identité… Elle se demandait si se présenter était une bonne solution… Elle réfléchissait, c’est alors que l’espion se présenta… Elle décida de lui poser des question sans se présenter.


« Dis moi, si ce n’est que les trésors que tu cherches que fais tu dans cette eau ou il n’y a rien qu’il t’intéresse d’un coup… ? »

Elle était méfiante. Il avait menti une fois pourquoi pas deux… Rien ne prouvait qu’il n’ait pas recommencé…


« Ton visage m’est familier, ne nous sommes pas déjà rencontré « Lucian » ? Je suis sur que si mais je n’arrive pas à cerner ou… »


Elle trouvait ses hommes très louches, et sans comprendre un leger filet d’eau l’entoura, comme si il attendait une attaque de l’un des pantins qui jouait cette scène. Elle finit par décider de se présenter.

« Je me nomme Pandora… »

Eden aurait aimer arracher chaque bandage pour voir ce qu’il cachait, mais n’aimant que l’eau pour se laver, elle laissa Pandora vivre cette instant sans jamais tenter de venir a eux pour jouer avec leur corps…
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MessageSujet: Re: Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black]   Le sifflement de la chimère [PV: Akoru Black] EmptySam 18 Fév 2012 - 12:30

Bon, la jeune femme s'était enfin présentée, mais elle persistait à vouloir rester dans l'eau. Akoru était déjà sortit ainsi que l'autre homme. Celui-ci se nommait Laucian. Veher rendit sa liberté au jeune homme et celui-ci fit comme si rien ne s'était passé. Apparemment les deux étrangers semblaient se connaitre ou quelque chose comme ça. Cela ne concernait plus du tout Akoru et celui-ci décida de partir, essayer de trouver un abri avant la tombée de la nuit.

Il savait par expérience que nombre de prédateurs venaient s'abreuver à la tombée de la nuit et il préférait ne pas se trouver entre le lac et une bête sauvage. Le soleil commençait peu à peu à décliner et il se reflétait sur les vaguelettes que causait la jeune femme nommée Pandora. Akoru se décida donc à les laisser entre eux, après-tout, cela ne le concernait pas et ce n'est pas des amis qu'il était venu chercher ici.

Il reprit donc ses affaires et se dirigea, sans un mot, vers l'autre extrémité du lac, là où il n'avait pas encore été.
Derrière lui vibrait Veher, celle-ci commençait à avoir soif, même s'ils s'étaient "nourris" dernièrement. Mais ce n'était pas encore critique, l'Ombre avait connu des moments plus difficiles précédemment et il ne doutait pas de lui-même. Il trouverait quoi faire le moment venu. Laissant le lac derrière lui, Akoru commença à entrer dans le bois entourant le lac à la recherche d'un abri pour la nuit.
Peut-être les ruines se trouvant à proximité lui fourniraient-elles un abri confortable ?

Finalement, ne trouvant aucun abri, AKoru se décida à faire marche arrière et retourna vers le lac. Il passa près de celui-ci et se dirigea vers les ruines. Il ne se souciait plus des deux autres personnes. Une femme qui reste dans l'eau à longueur de journée et un chasseur de primes, il avait connu pire comme menace potentielle.
S'orientant rapidement, Akoru trouva le chemin des ruines et décida de s'y rendre. Il n'avait pas peur de la nuit, il avait plutôt peur de ce que Veher pourrait faire de lui la nuit...

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