''L’enfant voulait répondre. Mais sa gorge lui fit comprendre que ses mots ne seraient jamais à la hauteur du silence.''
               
Eto Hachiro
 
''La mort, c’est elle qui vous fait tenir debout. C’est elle qui dicte les actes. C’est elle qui peint le monde. Et elle vous emportera tous.''
               
Querel Sentencia
 
''Je ne ressens que soif et tristesse, la mort est futilité. Je la cherche, peut-être suis-je elle.''
               
Nagate Zetsubō
 
''Udyr, quand tu seras mort, on se souviendra de ton nom. Moi je n'en ai pas, car je ne mourrai pas aujourd'hui. Mais le tien restera gravé dans ma mémoire, et dans celle de tous ceux qui t'ont connu, comme celui d'un homme fort, et digne. Alors va, et éteins-toi avec grandeur, devant tous ces vautours.''
               
Darn Butcher
 
''La nature revivait là où les hommes mourraient, le cycle reprenait son cours normal grâce à l’albinos.''
               
Aikanaro Myrrhyn
 
''Ils ne se battaient pour rien qui n’en vaille la peine. Ils étaient incapables de distinguer ce qui avait de la valeur de ce qui n’en avait pas. Alors pourquoi tant de vigueur à la tâche ? Pourquoi risquer sa vie aussi vainement ?''
               
Alcofrybas Grincebrume
 
''Son regard, depuis toutes ces années, avait appris à parler.''
               
Etan Ystal
 
''Un monde de chaos, de destruction et de malheur, un monde impartial et magnifique, le seul en tout cas, où faire l’expérience de la vie prendrait un sens véritable.''
               
Edwin Gwendur
 
''L’enfer, ce doit être l’enfer : courir pour l’éternité dans un paysage sans fin, sans début. Sans possibilité de repos ou de mort.''
               
Tyrias Marchemonde
 
''Mais sans risque on n'obtient rien, voici ma devise mes amis. Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains, il ne faut pas avoir peur de la mort…''
               
Dimitri Morteury
 
''Tomber... Ceci est si abstrait. L'on pourrait se relever plus grand que l'on était.''
               
Yozora Adragnis
 
''Il passa des semaines dans le cachot ayant décidé de s'y enfermer lui-même. Puis, au terme de trois semaines, vous êtes venu le voir et vous lui avez dit : «Les larmes ne sont qu'une faiblesse qu'il te faudra masquer... Si tu veux t'apitoyer, libre à toi, mais, si tu souhaites voir les choses changer, tu le peux toujours. Suis-moi... Mon ami.»''
               
Haar Wilder
 
''Le brin d'herbe ne se soucie guère de ce que font les feuilles des arbres. Mais à l'automne venu, les feuilles ne se suffisent plus entre elles. Elles s'assombrissent, se nourrissant des nuages noirs d'orage. Et alors, elles se laissent tomber sur nous.''
               
Le Peintre
 
''S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est immobile, allongée, rigide, puante à en faire vomir, en décomposition, transportant des milliers de maladies, la peau arrachée et les os jaunes. S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est à six pieds sous terre, devenue la proie des corbeaux, et ses yeux mangés par des fourmis... C'est qu'elle a un jour été orgueilleuse et avide. C'est qu'elle a un jour voulu devenir riche et grande, ou bien qu'elle l'est devenue. Cela ne change rien.''
               
Le Violoniste
 
''La pensée est la liberté, la liberté... Alors, le corps est la prison, le corps est la prison... Il faut casser les barreaux.''
               
Sill
 
''Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.''
               
Setsuna Hendenmark
 
''Fais ce que tu veux avec ces villageois, sauf les laisser en vie.''
               
Kaull Hendenmark
 
''La fuite vers la religion peut être une réponse pour certains. Pour d'autres elle n'est que la simple évidence que l'homme est faible et instable.''
               
Astryl Panasdür
 
''La mort ne cherche pas à s’expliquer, elle ne fait qu’agir, monsieur. Les cadavres ne racontent pas grand-chose, mais vivant, un homme peut en avoir long à dire.''
               
Sanaki Hearthlight
 
''Alors, telle une marionnette cassée que l’on tente en vain d’animer, il se releva, restant digne malgré ses blessures.''
               
Dolven Melrak
 
''Quand le sang coule, il faut le boire. La mort ne frappera pas à votre porte mais s'invitera par vos fenêtres !''
               
Andreï Loknar
 
''Personne ne peut capturer une ombre, personne ne peut la dresser ni se l’approprier.''
               
Jazminsaa Alsan
 
''De la même façon, à l'idée qu'un abruti de scribe puisse teinter ses parchemins de calomnies religieuses, ou pire, me faire porter le titre de héros, je vais préférer m’occuper de l'écriture de ma propre histoire.''
               
Alexandre Ranald
 
''La mort... Si belle et terrible à la fois, elle l'appelait, et l'appelle toujours.''
               
Adam Moriharty
 
''Par nature, j’aime tout. Par conséquence, je me hais…''
               
Samaël Apelpisia
 
''C'est sordide et cruel, mais c'est hélas la réalité de ce monde.''
               
Liam Gil' Sayan
 
''Aujourd’hui sur les terres de Feleth les pensées ne sont plus les bienvenues. Le temps de la renaissance spirituelle est terminé. Le temps où les grands penseurs avaient aidé le monde est révolu.''
               
Héra Calliope
 
''La mort était séductrice ; elle ne montrait que ses bons côtés. La sérénité et le calme absolu : pour toujours et sans violence.''
               
Eurybie Pourrie
 
''J’ai atteint cette espèce de vanité qu’apporte l’ancienneté. Je ne crois plus qu’on puisse m’apprendre quelque chose, et si jamais quelqu’un essaye ou y arrive seulement, je me bloquerais et deviendrais hermétique à tout contact.''
               
Dante Waanig
 
''Je devrais t'attacher, tu deviens dangereux pour toi même !''
               
Jeyra Frozeñ
 
''La beauté des êtres n'était rien. La beauté des choses oui. Mais pas forcement celle que l'on voit avec une paire de rétines.''
               
Akira Satetsu
 
''Le noir. Une étendue sombre en perpétuel mouvement.''
               
Melpomène d'Ambre
 
''Il est des oreilles invisibles qui peuvent entendre jusqu'à nos moindres soupirs et des secrets aux allures anodines peuvent se révéler instruments de destruction et de tourments sans fin...''
               
Cassandre Ombrelune
 
''Le "rien" est tellement plus unique que la peur ou n'importe quel autre sentiment...''
               
Meryle Nightlander
 
''Ce n'est pas le nombre ni la force qui compte, c'est l'envie, la cause.''
               
Luyak Salamya
 
''L'innocence d'un enfant est la plus grande peur de l'homme.''
               
Clause Vaneslander
 
''Quand il lui manque une marionnette pour ses spectacles. Il verrait en vous la chose qu'il cherche.''
               
Jack D'enfer
 
''Il n'a pas de notion réelle du bien et du mal, personne ne lui ayant jamais défini ces mots.''
               
Jim Stocker
 
''Je n'ai vu aucune lumière, aucun goulet, pour sortir du boyau infini et obscur que nous empruntons tous, jusqu'à la promesse d'une nouvelle vie, de la transcendance et de la connaissance. Alors, mes yeux se sont adaptés aux ténèbres.''
               
Shaquîlah Dresdeïorth
 
''Le pouvoir ronge l'homme.''
               
Balthazar Bel
 
''Visiblement, la sérénité n'avait de valeur que si on connaissait également, en comparaison, des moments de troubles.''
               
Dranek Barth
 
''Le faible se faisait tuer, le fort vivait un jour de plus.''
               
Rodany Bleinzen
 
''Le soleil se couchait sur le monde du milieu. Les ténèbres se paraient de leurs plus somptueux apparats pour enfin faire leur entrée.''
               
Rin Mephisto
 
''Et alors il vit le chaos, la désolation, la souffrance le désespoir ambiant. Il rit.''
               
Elrog Aniec
 
''Perdu quelque part, marche vers nulle part.''
               
Kyle Wate
 
''La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir.''
               
Karin Yzomel
 
''- Je peux vous prédire le genre d'homme qui vous convient !
- Je connais déjà mon genre d'homme.
- Vraiment... Et quel est-il ?
- Les hommes morts.''
               
Naladrial Delindel
 
''Utilise tes pouvoirs seulement quand le noir deviendra invivable.''
               
Zedd McTwist
 
''Tes cauchemars m'ont déjà donné l'encre... À présent, ta peau me donnera les pages !''
               
Conrart Crowlore
 
''Bien des gens se font enfermer dans un cercueil une fois mort, mais rares sont ceux qui naissent dedans.''
               
Dassyldroth Arphoss
 
''Le corbeau frénétique qui vous nargue de sa voix perchée, agite ses ailes damnées, où le reflet d'un mort se penche sur votre âme.''
               
Lust Aseliwin
 
''La vie est un mensonge, la destruction une délivrance.
Passent les marées, soufflent les vents, en vain...''
               
Le Passant
 
''Fauche, tranche et avale, gouffre des âmes. Que se dresse devant toi mille fléaux, et que l’enfer se glace devant ta noirceur.''
               
Lloyd Vilehearth
 
''Des charognards pour la plupart, comme ces corbeaux à deux têtes, venant dévorer le valeureux mort.''
               
Meneldil Tristelune
 
''Nous sommes les bourreaux de la justice et de la paix. Même si ce rôle n'est pas agréable à endosser, nous nous devons de le faire, pour le bien du peuple.''
               
Ezekiel Le Sage
 
''Il me tarde de retourner au combat pour finir empalé sur une pique.''
               
Karl Von Morlag
 
''Montre-moi le chemin de la victoire. Ou guide-moi alors dans les tréfonds de la mort...''
               
Aznan Lauréano
 
''Comment peux-tu supporter ça ? C'est assourdissant ! Tue-le ! Qu'est-ce que ça te coûte ? Tu ne l'entendras plus. Tu seras en paix... Tue-le !''
               
Aïden Sochlane
 
''- Faites taire votre cabot !
- Je ne suis pas votre servante !
- Alors je le ferai taire moi-même !''
               
Rosaly Von Gregorius
 
''Le seul présent que la justice a à vous offrir, est votre mort.''
               
Mirage Morteury
 
''Laissez-moi vous conduire aux carnages.... Tant d'âmes ne demandent qu'à succomber.''
               
Idryss Leeverwen
 
''Le soleil est un bourreau. D'une simple caresse, sa langue enflammée peut calciner n'importe quel être.''
               
Seïren Nepthys
 
''C'est une nuit sans lune. Ou bien était-ce un jour sans soleil ?''
               
ShuiLong Zhang
 
''La vie est un rouage lent et grinçant. Il ne tourne que dans un sens. Celui où tu tombes.''
               
Camelle Elwhang
 
''Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Feleth pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté !''
               
Edouard Neuman
 
''Le temps est la gangrène de l'homme, elle apparait puis vous ronge à petit feu. Pour finir il ne vous reste plus que le présent pour vivre ; le passé s'évapore peu à peu et le futur ne vous intéresse guère.''
               
Asgeïr Aslak
 
''Cueillir la fleur de la déchéance et croquer dans la pomme de la faucheuse, nos vies se résument à cela car après tout, nous finissons à une moment où un autre, tous sous terre.''
               
Violette Dellylas
 
''Le pire n'est pas de mourir, mais de se faire oublier.''
               
Erwan Daermon Do'Layde
 
''Tenter d'oublier, même si c'était impossible. Il aurait aimé se jeter à la mer avec la preuve de son acte immonde. Laver tout ce sang qu'il sentait sur lui. Peut-être même s'y noyer, simplement. Sombrer dans les abysses et les ténèbres, pour toujours.''
               
Mio Raeth
 
''La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.''
               
Aeli Seoriria
 
''Si la vie n'a qu'un temps, le souvenir n'a qu'une mesure. Le reste est silence.''
               
Valt Horn
 
''Dans le noir le plus complet, l'aveugle est la meilleure personne à suivre. Dans un monde de folie, qui mieux qu'un fou pour nous guider ?''
               
Ledha Borolev
 
''Je ne crois pas en la force d'un absent. Celle qui ferait de vos dieux ce que vous pensez qu'ils sont.''
               
Gigantus Corne
 
''Une limite qui n'a été créée que pour être dépassée ? C'est simple, imaginez !''
               
Goudwin Didrago
 
''Voir grouiller tous ces gens, connaître leurs désirs et leurs rêves, voir comment évoluent les sociétés, leurs aspirations et leurs défauts. Comprendre que donc rien n'est éternel, et que tous ces rêves et toutes ces folies disparaîtront de la surface du monde. Se laisser aller, indolent, parce que tout cela ne servira à rien, et qu'au bout du compte le monde reste le monde, seule éternité immuable.''
               
Uridan Sangried
 
''L'Inquisition vous remettra sur le droit chemin. Même s'il faut vous briser les jambes pour ça.''
               
Leevo Shellhorn
 
''N'oublie pas d'avoir peur des morts. Ils sont toujours plus nombreux que les vivants, et un jour, tu les rejoindras.''
               
Moira Brawl
 
''J'avais l'habitude avec ce genre d'individus... Moins vous bougerez, moins vous leur parlerez... et moins ils vous cogneront dessus.''
               
Aoi Haandar
 
''Je souhaite voir votre sang se répandre mollement à la surface d'une eau rendue trouble par les masses de cadavres vidés de leur substance, marcher dans les champs de vos ossements éparpillés, me remémorant à chaque pas votre mort absurde et pathétique, que vos noms ne soient pas contés, que votre souvenir s'éteigne comme s'éteint votre vie fade et misérable, qu'à travers les années, seuls subsistent vos ossements tels de tristes traces blanchâtres dans un paysage noir de guerre, de sang et de folie.
Et que telles cette phrase, vos morts n'aient aucune importance, aucune signification pour quiconque.''
               
Nargheil Eoss
 
''Bénie soit la haine que tu porteras à ton prochain, lave l'Homme des péchés qu'il a commis.
Sois l'épée du jugement qui s'abattra sur cette race impure, souillée par la vengeance et la corruption.''
               
Meiro Fuuchiuse
 
''Notre futur exprime nos actes passés.''
               
Terence Ripper
 
''Rencontre les ténèbres et tu admireras la lumière, dit le voyant.
Contemple la lumière et tu provoqueras les ténèbres, dit l'aveugle.''
               
Tekian Varis
 
''Un général courageux et fier, est celui qui exécute en premier l'ordre qu'il donne à ses hommes.''
               
Danarius Kyrarion
 
''L'art est le sentiment obscur de l'appropriation de l'étrange.''
               
Leroi-Gourhan
 
''La mort nous sourit à tous, et tout ce que nous pouvons faire, c'est lui sourire en retour.''
               
Marc-Aurèle
 
''L'art est la mystérieuse présence en nous, de ce qui devrait appartenir à la mort.''
               
Malraux
 
''L'art est une profondeur creusée dans le visage du monde.''
               
Weischedel
 
''Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ?''
               
Schopenhauer
 
''Les avocats d'un malfaiteur sont rarement assez artistes pour tourner à l'avantage de leur client la belle horreur de son acte.''
               
Nietzsche
 
''Ôte-toi de mon soleil.''
               
Diogène le cynique
 
''Il y a pas d’œuvre d'art sans collaboration du démon.''
               
André Gide
 
''Ce n'est pas le lieu mais son cœur qu'on habite.''
               
John Milton
 
''Nous sommes les histoires que nous vivons.''
               
Auteur inconnu
 
''La mort est terrible pour n'importe qui. Bons ou mauvais, anges ou démons, c'est la même chose. La mort est impartiale. Il n'y a pas de mort particulièrement horrible. C'est pourquoi la mort est effrayante. Les actes, l'âge, la personnalité, la richesse, la beauté... Tout ça n'a aucun sens face à la mort.''
               
Fuyumi Ono
 
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 Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre]

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Anouata

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Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre] _
MessageSujet: Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre]   Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre] EmptyDim 3 Mar 2013 - 17:10

Anouata Del - Haura

« Le loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus court […] » Le petit chaperon rouge – Charles Perrault.




Les feuilles étaient épaisses, les laines tombaient sur le sol comme les filaments d’une araignée… Les arbres se mélangeaient dans leur envie de conquérir le ciel. Un champ de bataille se profilait à l’horizon, ou la nature voulait tant l’or du ciel, le soleil. Je nomme ce lieu la jungle. Les cris des oiseaux qui s’envolent entre les feuilles. Les quelques animaux qu’on peut apercevoir le jour, me font sourire. Cette jungle a grossi. Elle était encore si petite de mon époque. Et me voilà, là marchant, brisant les feuilles et les branches qui recouvraient par moment le sol. L’étreinte de ce lieu se serra aux fils de mes pas.

Pourquoi je suis là ? A cause de Beolan que j’ai quitté bien tôt alors que le combat faisait rage. Les morts recouvraient le sol, le sang coulait dans les moindres fissures de cette ville, et de cette tour. Pauvres mages, tous destinaient à mourir…. J’étais heureuse de ce fait là. Ils le méritaient. Ils devaient pour m’avoir enfermé pendant 2000 ans. J’avais fouillé leur archive, et j’ai fini par trouver une trace… Je cherchais toujours mon adorable faux. Cette belle lame brillant de ma justice dans le ciel de Feleth. Je la veux, je veux la retrouver… Et donner ma sentence à ses immondices que sont les êtres humains, les elfes et autres raclures qui peuplent notre temps… Je vais revenir vous hanter cher enfant !

J’avais trouvé des documents qui m’indiquaient ou elle a été mise après ce qu’ils m’ont fait, ainsi que d’autres objets m’appartenant. Je ne me souvenais plus de quoi mais après tout… C’était au fond de la jungle dans un temple… Euh, pourquoi ? Sérieux pourquoi l’avoir mise là ? Rien dans le cerveau les mages… Donc armée d’une hallebarde à double tranchant, d’un sac en bandoulière, contenant des potions pour me soigner, de l’eau, de la nourriture… J’avançais. J’avais aussi une cape à capuche dedans, ça peut être utile. Il faisait chaud ici. Alors j’étais en pantalon de coton fin, un peu boursouflé en bas, de couleur brun clair, et un débardeur blanc en lin. J’avais des ballerines, en cuir, attaché par des ficelles à mes chevilles. Mon hallebarde était accrochée dans mon dos, mais j’avais aussi une dague.

J’avançais dans cette horreur végétale avec une envie de vite en finir. Et surtout de retrouver ma faux chérie. Qu’est-ce que je l’aime ! Ca faisait déjà deux jours que je circulais dans cette jungle. Un temple ça ne se trouve pas aussi facilement… Sérieux ! C’est là que je vis des ruines. Enfin des morceaux de pierres envahis par des plantes grimpantes se profilaient à l’horizon. L’aurais-je trouvé ? Je m’approchais doucement de ce lieu. J’avais hâte mais je devais faire attention.

Enfin devant, il y avait une muraille avec un arc qui formait la porte. Je trouvais que ça ne ressemblait pas à un temple …. Mais plus à un… Je montais dans un arbre pour mieux voir, et je vis des murs et des murs de pierres, et des entrées et des entrées puis au fond, un bâtiment… C’est un LABYRINTHE ! J’en aurais pour des heures… Ça va me saouler ! Pas le choix ! Pour ma faux ! Courage, je vais y arriver !

Je sautais de l’arbre, et j’avançais quand une brume noire envahit l’entrée… Quoi une créature ? Un peu de sport me fera du bien ! Je sortis mon hallebarde, et la tenant d’une main, j’attendais que la créature soit apparu… Et c’est là que le monstre apparut ! Le monstre… Ce n’est pas un monstre ça ! C’était un … un… Une petite créature ? Un truc poilu ? Une chose pas plus haute qu’une pomme ?? Un écureuil quoi ! Oui un écureuil avec une cape rouge sur le dos ! Il était brun, et il était comique avec son bâton qui avait un cristal… J’explosais de rire littéralement ! Un écureuil est apparu devant moi, habillé …. Je ne pouvais que rire. Qu’est-ce que je pouvais faire de plus que rire ?

- Je t’interdis de te moquer de moi, de la sorte vermine…

Wouahouuuuu ! Il parle ! Ça parle ! J’étais figée devant ça. Ce gnome parle ! J’étais surprise, et je me stoppais de rire.

- Tu parles !
- Oui, je parle, et toi tu vas mourir !
- Hein ?

Je ne bougeais pas. J’étais curieuse de voir ça. Je le trouvais ridicule !

- Et comment tu vas me tuer, petite chose ?
- Ne me nomme pas ainsi ! Je suis Esquillin le sorcier des morts.
- Hein, toi sorcier ?
- Tu ne rentreras pas dans mon domaine et celui de mon maitre ! Vil créature du mal ! Tu vas périr ! Et ton âme sera à mon maitre !

Il était donc apparu sur le muret, me fixant avec un air diabolique comme si il allait me faire peur… Je n’aurais jamais cru qu’un jour mon ennemi serait un écureuil ! C’était d’une ironie affligeante… Mais il est trognon avec ce regard ! Je reculais pour voir comment il allait m’attaquer. Je ne sais pas mais je ne m’en méfiais pas… J’aurais peut-être du !

C’est là qu’il leva sa petite patte avec son bâton. Qu’est- ce qu’il était chou ! Et si je l’adoptais ? Oui ! De la fumée verdâtre sortit du sol, et ça sentait mauvais, trop même. J’avais envie de vomir l’humain que j’avais dévoré plutôt dans la journée… Et là des cadavres sont sortis du sol…. 5 Cinq. Ils étaient décompositions… Un avait l’œil qui pendait, l’autre suintait… Enfin c’était répugnant… Des humains gâchés par la mort… C’est si triste…

- Des zombis, tu peux faire ça ?
- Et plus encore !
- Euh…

Pas le temps de réagir, qu’ils m’ont sauté dessus en même temps. C’est sale … Je vais être sale… Même pas le temps de frapper… Ils tentaient de m’arracher la peau et les vêtements… Je donnais un violent coup de pied dans le bas ventre de l’autre qui se coupa en deux… Seulement le haut du corps s’en moquait… Argh ! Je pris ma dague, et je coupais avec mal les bras d’un … C’est très combattif… Invoqué un loup ? Non… Je tentais de reprends ma hallebarde… Ce n’était pas facile… Mes vêtements étaient déchirés et bientôt, ils me boufferaient. J’espérais que ça allait marcher. C’est là que je sentis ma peau se déchirait sous les crocs… Le sang coulait de mon épaule, j’avais mal. Mes pieds tapaient pour qu’ils ne m’atteignent pas mais un a fait preuve d’intelligence …. Et m’a mordu à l’épaule.

Je fis tournais mon arme, détruisant tout sur le passage. Des morceaux de cadavre volaient dans tous les sens… J’étais dans un sale état mais je finissais par me relever… Les morceaux se mouvaient encore… Jamais débarrassé… Pire que le fléau…

Je soufflais. Et je jetais un bref regard sur ma plaie… J’avais une jolie trace de dent… Youpi ! Je cherchais l’écureuil mais il n’était pas là… plus sur le muret, il a disparu. Puis, j’entendis un gémissement, et je regardais par terre. Il était par terre, serrant fort ces petits doigts sur son bâton. A priori sa patte est cassée… Oh pauvre bête si mimi comme ça sur le dos. Je m’approchai et m’accroupis alors que les morceaux de chair humaine me couraient après, enfin tentaient … Je lui touchais le ventre du bout du doigt.

- oh c’est tout doux !
- Ne me touche pas !
- Que vas-tu faire ?
- Te tuer !
- Mais bien sûr !

Je sortis une potion de ma sacoche, et je lui fis boire une goutte… Il se débattit comme un sauvageon me griffant… mais j’ai réussi à l’endormi. Je suis une pro. Et les morceaux de corps disparurent. Ça c’est top ! Je le soignai. Je lui mis un atèle et un bandage. J’ai remarqué qu’il avait un anneau à la patte droite… Etrange. Je lui enlevais son bâton, le mettant dans une pochette extérieure de ma sacoche. Evitons que ça recommence. Je l’emballer dans un tissu qui se trouvait dans ma sacoche, et je le mis soigneusement dedans. Je fis bien attention à ne pas l’écraser. Je ne voulais pas le tuer.

Je repris ma hallebarde, et j’entrais dans le labyrinthe. Les murs étaient anciens. Les plantes grimpante avaient des fleurs blanches et rouge… Le sol était fissuré, et il y avait surement beaucoup de piège. Et c’est parti ! Je ne courais pas. Courir était trop dangereux… J’entendais des grognements au loin. Encore un écureuil ? Je me mis à rire …. Il y avait de temps en temps des visages gravés dans la roche… Ce n’était pas accueillant. Je soufflais. J’avais avancé de quelques pas puis je me retournais pour voir la porte… Plus rien. Et me voilà coincé dedans…. Youpi ! Je n’avais qu’à continuer. Je marchais. Je marchais… Et je tournais à droite et à gauche…

Et soudain, un tremblement de terre parcouru le labyrinthe… Je tombais sur les fesses… Me collant contre la paroi. Qu’est-ce que c’est encore ça ?

Hrp : Le petit écureuil ressemble à ça : Esquilin
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Goudwin Didrago

♘ | L'homme que l'on appelait Dragon.

________________

Goudwin Didrago
________________


Race : Humain
Classe : Mage-guerrier
Métier : Mercenaire/Chasseur de prime/Explorateur
Croyances : Aucune
Groupe : Alliance des Ombres / Alliance / Lame d'Argent

Âge : 30

Messages : 180

Histoire de Personnage : Passé :

.Histoire de dragon

Après Kaull :

.Épopée Albanesque I
.Épopée Albanesque II
.Épopée Albanesque III

Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre] _
MessageSujet: Re: Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre]   Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre] EmptyDim 3 Mar 2013 - 18:30

Goudwin lança un violent coup avec son arme. La tête du cadavre réanimé quitta son corps et tomba quelques mètres plus loin. D'autres morts sortirent alors du sombre dédale de pierre, en direction du mage. Il soupira. Comment avait-il fait pour se retrouver dans une telle situation. Une semaine plus tôt, il avait entendu parler de ruines très anciennes situé à l'est de la grande Jungle. Attiré par la curiosité, il s'y était rendu rapidement pour voir ce qu'il en était. Il n'avait pas mit très longtemps à les trouver, malgré la flore extrêmement dense de la jungle qui les dissimulaient.

Il avait atteint le sommet d'un haut talus qui surplombait les ruines, afin de les observer. C'est à ce moment là que des cadavres animés étaient sortis du sol et lui avaient sauter dessus. Heureusement, son armure l'avait protégé de leurs morsures empoisonnés, mais il avait perdu l'équilibre et était tombé avec eux dans l'enceinte des ruines. Et cela faisait maintenant une heure qu'il essayait de trouver une sortie tout en renvoyant au royaumes des morts les zombies qui tentaient de le dévorer.

-Si ces choses savaient ce qu'il y avait en moi, elles seraient beaucoup moins enclins à me dévorer.

Un autre zombie lui sauta dessus, mais finit empalé au bout de la lance-épée du Dragon. Celui-ci dégagea son arme d'un geste et s'en alla trancher l'adversaire suivant. Au bout d'un moment, il se rendit compte que le nombre de cadavres avait doublé et lui bloquait la passage des deux côté du couloir. Il était totalement cerné.

-Magnifique. Quoi de mieux qu'une expédition agrémentée de quelques mort-vivants?

La voix de son élémentaire retentit à travers le rubis de son arme.

-Je me disais aussi que cette histoire de ruine, c'était louche. Maintenant je sais pourquoi.

-En tous cas, il va falloir qu'on sorte de ce labyrinthe.

-Ça va être difficile de ce diriger avec ces cadavres aux fesses.

-Tant pis. Je ne voulait pas en arrivé là, mais je n'ai pas le choix.

Le mage rengaina son arme et lia ses mains par l'extrémité de ses doigts. Une grande sphère de flammes l'entoura alors. Il ferma les yeux, se concentra. Puis il les rouvrit d'un coup. La sphère remua quelques secondes et libéra un torrent de flammes qui partit dans tous les sens, brûlant les cadavres sur son passage. Une violente secousse fit vibrer les murs du labyrinthe. Au bout d'un instant, il ne restait aucun zombie encore debout. Goudwin reprit son arme en main et continua à avancer d'un pas prudent.

-Si il y a quelqu'un ici, il nous a surement entendu. Mieux vaut ne pas rester ici trop longtemps.
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Anouata

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Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre] _
MessageSujet: Re: Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre]   Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre] EmptySam 9 Mar 2013 - 13:48

''Bonnes gens qui fauchez, si vous ne dites au roi que le pré que vous fauchez appartient à Monsieur le Marquis de Carabas, vous serez tous hachés menu comme chair à pâté. '' Le chat Botté – Charles Perrault –



La terre avait tremblé et les pierres avaient sombré par endroit… Quelques fissures marquaient le sol…Telle des veines qui palpitent au son du monde. J’étais assis contre le muret, les genoux pliaient. Mon épaule me faisait mal. La peau me tirait… Je sortis un tissu de mon sac en faisant bien attention à l’écureuil qui dormait dedans… Je me pansais cette plaie… Je ne veux pas avoir les marques de dent de zombi en cicatrice !!! Non, ça je ne veux pas. Je me levais avec peine. Pourquoi ça à trembler ? Sérieusement ? Ce labyrinthe doit cacher bien des choses pas nettes… Je veux pourtant ma faux. Ma cher faux ! L’ami des morts…


La mort rodait dans l’air comme un poison caressant les êtres vivants… Une odeur que j’aime par son goût sucré que le sang pouvait lui procurer… Oui, ça sentait la fin d’une vie, ou de plusieurs vies. Je tentais de me repérer en fixant les murs… Mais tout se ressemblait. J’en aurais vraiment pour des heures ! Je marchais, je tournais, encore et toujours… Inlassablement. C’était paisible, calme… Seulement, il n’y avait pas de chant d’oiseau comme si la nature s’était éteinte. J’aurais prendre de quoi marquer le chemin ! J’avais l’impression de tourner en rond.

C’est là qu’un sourire se dessina dans l’air, tel un rire diabolique, puis des yeux… C’était quoi cette chose ? Puis des moustaches… Euh… C’est quoi ce délire ? Je lui tournais autour, et il me suivait du regard. Je me figeais en face de lui.

- Bonjour belle demoiselle.

Et il cause ! Ca y est, je suis tombée dans un maléfice. Je ne savais pas quoi dire à un visage flottant dans le ciel… Ou plutôt a des yeux, un sourire et des moustaches… Tu ne parles pas à ce genre de créature, déjà !

- Oh ! Comme tu es mal poli ! Je veux jouer avec toi ! Le maitre n’en saura rien !
- Quel maitre ?
- Peu importe ! Je veux ! Tu vas jouer avec le monsieur flammèche !
- Le monsieur ?
- Oui oui, il fait trembler le sol dans le Laby !
- Laby ?
- LabyRINTHEUH !

Je discute avec une chose non identifié qui parlait comme un enfant. Pourquoi pas. Tant que j’ai ma faux à la fin, tout va bien.

- Allez, ce sera drôle. En plus, je vois tout, je sais tout… Je suis le messager ! Si tu acceptes de jouer, je te dirais la sortie !
- C’est vrai ?

Je ne sais pas mais j’ai un doute sur cette chose. Elle est louche …

- Oui, oui ! C’est vrai ! Allez !
- Non, je ne te fais pas confiance.

Il se mit à me bouder, et à renifler comme si il pleurait. Euh… C’est un gosse, c’est ça ! Et là, d’un ton plus sérieux, plus menaçant, il me sortit :

- Tu vas me le payer ! Tu vas mourir sauvagement !

Et il disparut comme si de rien n’était. Ok… Pourquoi pas ! Encore un truc louche qui veut ma mort. Franchement… Je crois que tout ici est bizarre. Vraiment tout ! Je continuais donc mon chemin, ignorant cette rencontre. Je devais atteindre le temple. Je sentais l’écureuil bouger mais je ne m’en inquiétais pas. Il dormirait encore quelques heures avant de m’embêter.

Je marchais donc paisiblement quand soudain, le sol se mit à trembler comme si il y avait une personne qui martelait le sol violement… Je n’aimais pas du tout ça. C’est alors que je vis un golem en pierre noire portant une tunique rouge. Je suis sur qu’il parle lui aussi.

- Tiens un insecte !
- Euh, tu me veux du mal ?

Il sourit ! Et me prit de ses gros bouts de doigts par la sangle de mon sac que je refusais de lâcher. Je me débattais. Seulement, il faisait plus de 10 mètres de haut… Et avec mes petits pieds, je n’arrivais pas à le toucher. J’abandonnais.


- Lâche-moi !
- Non, je te garde pour ma collection !
- Hein, mais non !

Et hop, il me mit dans un bocal, avec des trous, puis il le ferma… et mit dans sa poche. Il pue… Il pue… Il pue !! Beurk ! Et beurk ! Et beurk ! Je criais mais il rigola.

Je ne trouve pas ça drôle ! JE VEUX SORTIR ! Il marchait car je me faisais balloter comme une vieille chaussette… J’avais la nausée à force… Et puis il s’arrêta. Il me posa sur une étagère. Il y avait d’autres bocaux… Avec des créatures dedans, comme des dragons, des êtres avec des ailes, des séraphins ou même des démons. Certains étaient même momifiés … Je criais à l’aide… Mais en vain…. Je suis condamnée.
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Goudwin Didrago

♘ | L'homme que l'on appelait Dragon.

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Goudwin Didrago
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Race : Humain
Classe : Mage-guerrier
Métier : Mercenaire/Chasseur de prime/Explorateur
Croyances : Aucune
Groupe : Alliance des Ombres / Alliance / Lame d'Argent

Âge : 30

Messages : 180

Histoire de Personnage : Passé :

.Histoire de dragon

Après Kaull :

.Épopée Albanesque I
.Épopée Albanesque II
.Épopée Albanesque III

Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre] _
MessageSujet: Re: Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre]   Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre] EmptySam 9 Mar 2013 - 18:30

Goudwin marchait de couloir en couloir, sans trouver la moindre sortie. Il avait d'abord essayé de se guider avec des flux de magie qu'il avait ressentit en atterrissant dans le labyrinthe, mais ils avaient fini par disparaître. Il marquait par le feu chaque intersection qu'il rencontrait, mais se rendit bien vite compte que le dédale était trop vaste pour qu'il repasse deux fois au même endroit. Alors qu'il avançait d'un pat prudent, il arriva près d'un croisement dont l'un des chemin semblait plus large et surtout bien plus haut. C'est alors qu'un bruit de pierre raisonna derrière lui. Il se retourna et découvrit avec une surprise visible un gigantesque golem de pierre devant lui, qui l'observait d'un oeil curieux, mais surtout avide.

-Oui! Un insecte! Un bel insecte pour ma collection.

-Qu'est-ce que fout un golem de dix mètres dans ce labyrinthe?!

-J'habite ici pour servir le maître.

-Le maître? Il y a quelqu'un qui dirige cet endroit abandonné?

-Oui c'est lui qui nous a donné vie, et...

Le golem se tut d'un coup, comme-ci il venait de faire une bêtise.

-C'est vrai, je ne dois pas parler, sinon le maître va me gronder.

-Tu m'en a déjà suffisement dit. Sur ceux...

-Non! Tu reste ici! Tu es le deuxième insecte que je trouve pour ma collection aujourd'hui!

-Le deuxième? Il y a quelqu'un d'autre que moi ici?

-Oui un autre insecte. Très jolie. Avec une belle peau blanche.

Puis le golem tenta d'attraper le mage avec son énorme main. Goudwin roula sur le côté pour éviter la poigne de pierre qui lui arrivait dessus et se releva d'un bon.

-Non! Reste ici!

-Dis moi l'ami, tu vas t'en sortir comment ce coup-ci? Ce truc ne pourra pas être tuer avec une simple explosion.

-C'est toi qui va servir d'appât mon cher.

-Quoi?!

D'un geste, Goudwin invoqua son élémentaire aux pieds du golem.

-Oh! Un insecte brillant! Ça ira très bien avec le beau blanc que j'ai trouvé tout à l'heure.

-Goudwin! Que...

-Merci Fiérlus! Je te révoquerais dès que j'aurais trouvé la fille dont il parlait.

-J'aurais ta peau Dragon! J'aurais ta peau!

-Viens là petit insecte.

-Fous moi la paix gros tas de pierre sans cervelle!

L'élémentaire détala à toute vitesse, le géant sur ses talons. Goudwin en profita pour emprunter le chemin qu'il avait repérer. En y pénétrant, il se rendit compte qu'il s'agissait en fait d'une énorme salle, certainement la tanière du golem. Il remarqua alors une étagère où étaient entassés par dizaines des bocaux, avec à l'intérieur des êtres de toutes races. Certains étaient momifiés, d'autres non, mais tous avaient succombé depuis longtemps, ou alors ils se seraient réveillé en entendant le tintamarre de leur geôlier. Il vit alors dans un des bocaux "l'insecte" dont le géant parlait. Elle était placée sur la plus basse étagère, à cinq mètres du sol environs, et tapait comme une sourde sur la parois de sa prison. Le mage réfléchit à un moyen de la faire descendre. Rien autour ne lui permettrait de l'atteindre directement. La chute était inévitable.

Levant sa main vers l'étagère, il concentra sa magie sur la planche en bois. Celle-ci vira au rouge et se désagrégea en un instant. Le bocal tomba et se brisa au sol. Goudwin se dirigea alors vers les débris, découvrant une jeune femme avec des vêtements à moitié déchirés et un sac en cuir.


Dernière édition par Goudwin Didrago le Dim 7 Avr 2013 - 12:37, édité 1 fois
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Anouata

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Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre] _
MessageSujet: Re: Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre]   Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre] EmptyDim 7 Avr 2013 - 12:01

« Mais comme il allait donner le premier coup, son bras resta suspendu en l’air car il venait d’entendre une toute petite voix qui le suppliait : - Ne frappe pas si fort ! » Les aventures de Pinocchio - Carlo Collodi


Le verre brillait sous le peu soleil. J’étais telle une souris, prise au piège. Je pouvais respirer mais je savais que je ne vivrais pas longtemps ainsi. Comment ? Simplement en regardant les autres dans leur bocal. Tous morts ! Je ne veux pas finir ainsi. Je voulais faire balancer le bocal pour qu’il tombe… C’était risqué, je sais. Cependant, je ne veux pas mourir mais juste retrouvé ma faux ! C’est là que tout s’écroula, que je tombai comme un vulgaire objet… Je me débattais dans l’air pour m’accrocher au rebord du bocal pour m’échapper. Je voulais même dégainer mon hallebarde… mais rien à faire.

La chute fut si longue, si pénible. J’étais sur la première étagère pour un golem gigantesque, c’est comme si je chutais d’une tour… Le choc risque d’être….Comment dire mortel ! Je ne voulais pas mourir… Je voyais ce sol se rapprochait de plus en plus vite. L’écureuil va t- il se réveiller et nous aider ? Bien sûr que non, je l’entendais ronfler. J’essayais de garder mon calme, de ne pas crier… J’étais un asticot ballotté par le vent d’une chute.

Le fracas eu lieu dans un petit bruit. Les morceaux de verres voletaient dans le choc me coupant la peau… Un peu partout. Et moi je m’étalais sur le ventre, crachant le sang qui était dans ma bouche. Ma tête me faisait mal, non tout mon corps… Je souffrais. J’essayais de lever la tête mais ce n’était pas une tâche facile… Je fixais au loin et vit un homme…

- C’est… Toi qui a fait ça ?

Je demandais ça avec mal comme si chacun des mots que je prononçais, étaient des lames de rasoir dans ma gorge… Je ne pouvais pas vraiment bouger. J’étais dans la merde. Je devais agir.

- Pourquoi…

Je réfléchissais enfin tenter. Un loup ! Pouvais – Je ? Est-ce que mon corps le pouvait ? Il me faut de l’énergie vitale ! Bon le seul type que je pouvais embrasser et lui en voler, c’était celui qui m’avait fait surement tomber. Je fermais les yeux soufflant de travers… Vu que j’avais du mal à rester éveiller. Alors que je voulais user de mon pouvoir, mon cœur s’affola. Il battait si fort comme si il allait exploser… Je me sentis mal, ma respiration me manquait. Je me mourrais. Je sombrais… Je m’agrippai à ce cœur qui me faisait défaut. Pourtant ma tête était lourde, et gisait sur ce sol. La chute fut plus destructrice que je ne le pensais.


Je me mourrais. Je tombais dans une inconscience certaine. Est-ce qu’un jour, je me réveillerais ? Oui je finirais comme j’aurais toujours dut finir, morte ? J’aurais aimé prendre un dernier bain de sang, ou simplement me faire avec un feu de camp avec un morceau d’humain ou de séraphin à manger… Je m’en allais loin alors qu’un golem n’était pas loin et que j’étais dans sa tanière au sol.

Quant à l’inconnu, allait – il me tuer dans ma plus grande faiblesse ? Ou simplement me laisser dans cette merde que lui-même à causer ? Et l’écureuil qui était dans la sacoche, dormait paisiblement sur mon dos. Il avait eu de la chance. Je hais ce nouveau monde. Je préférais avant ou c’était moi qui était le tyran de ses felethiens, rien que par ma justice. Je ne vis que néant dans mon cauchemar. Aucune lumière, aucun espoir se profilaient.

Etait – ce ma fin ?
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Goudwin Didrago

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Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre] _
MessageSujet: Re: Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre]   Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre] EmptyVen 12 Avr 2013 - 20:23

La chute de la jeune femme fut bien plus grave que prévu. Lorsque Goudwin s'approcha d'elle, il constata qu'elle était déjà entre la vie et la mort. Du verre avait pénétré dans sa chère, et elle était également couverte de traces de morsures et de griffes. Elle crachait du sang.

-Merde!

Il se précipita à côté d'elle et la souleva par les épaules le moins brutalement possible.

-Hé! Tu m'entends?

Mais la jeune femme avait déjà perdu toute conscience, et le sang continuait à couler de sa bouche. Goudwin arracha alors des morceaux de sa robes et les noua sur les blessures les plus graves. Il avait bien de l'équipement de premier secours dans son sac, mais il ne voulait pas prendre le risque de la soigner dans la salle du golem. Il la souleva sur son épaule et sortit de la salle. Après avoir regardé à de tous les côtés, il s'éloigna et trouva après quelques instant une sorte de fente dans les murs du labyrinthe. Il s'y engouffra et ressortit dans une petite caverne. Le plafond était à peine plus haut que lui, mais la cavité était assez large pour les accueillir tous les deux.

Il déposa la jeune femme à terre, déposa son arme et son sac à côté d'elle. Puis il fit apparaître une flamme au bout de son index droit et se pense vers les blessures de la femme.

-Pourvus qu'elle ne se réveille pas. Ça rendrait les choses plus compliquées.

Il commença alors à passé la flamme sur les blessures pour les cautériser et retirer les nombreux bouts de verre. Une heure après, il avait fini de retirer le verre. Il banda l'abdomen de la jeune femme ainsi que ses bras et sa jambe droite. Il appuya sa tête sur son sac et vérifia son pouls. Son coeur battait. Faiblement, mais il battait. Dragon s'assit alors sur une autre parois de la cavité et soupira.

-J'ai fait ce que j'ai pu. Maintenant c'est à toi de te battre.
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Anouata

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Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre] _
MessageSujet: Re: Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre]   Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre] EmptySam 27 Avr 2013 - 15:33

« […]Elle les vit fixer tristement leurs regards sur l'écume dansante […] » La petite sirène - H.C. Andersen.



Une horloge laissait sa mélodie s’évaporer dans un paysage macabre. Ses chairs lui faisaient mal… Le sang la quittait, elle qui aimait bien y gouter. Elle ne peut pas raconter sa déchéance e que dans un rêve. Un cauchemar brulant de réalité. Son inconscience était prise de convulsion, de vie brisée.

Dans ce dédale de mort, je gisais. Les arbres étaient morts, leurs branches montant vers un ciel qui ne veut pas d’eux. Les corps en charpie dormaient sur le sol, certain corbeau dévorait leurs yeux… Il ne restait que moi. Il ne restait que la destructrice que je suis. Un champ de bataille ? Mon passé ? Un peu des deux surement… J’ai tué … Tué encore et toujours, me nourrissant de leur chair, me baignant dans leur sang… Me voilà là debout devant mon œuvre… Moi qui ne voulais pas tuer au début de ma vie… Moi, qui refusais de prendre la vie d’un homme.

C’est là que je vis, Caleb me souriant. Je courus vers lui, et me blottit contre lui. Je crispais mes mains dans son dos, baissant la tête. Il me câlina, me caressant le dos, ses lèvres posaient sur ma tête. J’étais bien contre lui. Cependant, je savais que ce n’était un mirage, un mirage que ma mort m’offrait. Je ne bougeais pas, je voulais rester contre lui. Je voulais sentir son odeur m’embaumer. Je ne voulais me réveiller, et vivre… Je me refusais. C’est là que j’entendis des murmures… Je ne comprenais que « Tu nous as tué… Tué…. TUE… »

Je n’avais pas peur, je savais ce que j’avais fait. Mais, je ne pus pas m’empêcher de me demander si ce n’était pas une vengeance de leur part que de m’enfermer dans mon passé… Caleb me serra fort, fort contre son cœur qui battait. Je levais la tête, il me souriait toujours.

Puis il approcha ses lèvres de mon oreille, soufflant doucement.

- Je t’en supplie, tu dois vivre…

Je ne pus rien dire. Je le regardais dans ses yeux, le fixant avec tristesse. Je voulais vivre mais je me sentais prisonnière de mon propre corps. Il recula, me lâchant. Je ne voulais pas qu’il parte, je voulais qu’il reste près de moi… Il m’a tant manqué… Ça doit être le seul ou mon côté humain a pris le dessus. Il disparut comme si il n’avait jamais existé.

Les corps, les cadavres se relevèrent, marchèrent vers moi. Je ne bougeais pas, regardant mes innombrables victimes m’entourer. Ces âmes en perdition m’entourèrent comme si elles voulaient me dévorer… Ne me dévorez pas, voilà ce que je voulais crier, mais rien ne sortit de ma bouche. La fin était donc là ?

« Tu dois VIVRE ! »


Le sol se fissura sous mes pieds, sous leur assaut … Je chutais, je tombais dans les profondeurs… Je n’avais pas de quoi m’accroché. Je ne pouvais que chuter. Je fermais les yeux, et cogna contre le sol… Dans un choc tel que je sursautai, et inspirai violement…

Mes yeux s’ouvrirent, et je retrouvais ma réalité. Je me recroquevillais sur moi-même. Ma peau me brulait, me fit mal… Il me faut de l’essence vitale… Je fixais autour de moi, étourdie, perdue… Je vis le visage de l’homme qui m’avait fait tomber… M’aurait – il sauver ? Pourquoi ? Je me frottais la tête… C’est là que l’écureuil sortit du sac…

- Sorcière ! On est chez le golem… Merde et merde ! Ou est mon bâton ? OU ?

- Ta gueule … Soufflai – je.
- Non mais … Attends tu m’as soigné mais… Et toi, le mec là, t’es qui… ?

Cet écureuil ne voulait pas se taire… Ma tête me faisait mal. Je tentais de me relever, mais je n’y arrivais pas. Je tentais aussi d’attraper cette boule de poil mais malgré sa jambe cassée, elle restait rapide… Je finis par lui lancer un caillou sur la tête, et il tomba… Mon pantalon était dans un sale état, ainsi que ma tenue entier… Cependant toutes mes affaires étaient là, même mon arme. Je rempliais mes jambes en tailleur, et fixait l’homme.

- Qui es-tu ? Pourquoi tout ça ?

Je pris l’écureuil dans mes mains, et l’entoura d’un linceul. Il était toujours aussi mignon… En plus quand il se taisait. Je pris un genre d’élastique dans ma sacoche, et me fit une queue de cheval avec mes longs cheveux pour ne pas être déranger. Je regardais ensuite mes plaies, qui avait laissé d’affreuse cicatrice … On a cautérisé mes plaies !

- Euh merci….

L’essence vitale ! Je dois en voler …. Pour cicatriser mieux que ça, et enlever ses horribles laideurs de mon corps. Avec mal, je me mis à genoux en face de lui, étant à quelques centimètres en penchant la tête. Dois – je lui voler à lui ? Qui m’a sauvé ? Bordel, que j’avais mal !!!!
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Néro Elem

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MessageSujet: Re: Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre]   Les pierres du passé, Les pièges éternels, l'affront pour un souvenir passé ... Du sang? [Libre] EmptySam 11 Mai 2013 - 23:52

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